France
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Il y a certainement au moins une chose, avant même le verdict attendu mercredi. Ce procès spécial aurait été utile. Aide les victimes qui ont entendu parler de souffrance. En effet, des propos inédits y ont été prononcés, ce qui contribue à apporter un éclairage nouveau sur les événements du13 novembre 2015. Pendant neuf mois, un juge de paix dans un grand tribunal spécial de Paris s'est tourné vers le nom. Survivants, veuves, frères et sœurs, mères. Des policiers arrivés sur les lieux alors que l'attentat était encore en cours, des soignants faisant face à des blessés de guerre sur le trottoir à Paris, des experts légistes et des enquêteurs ont été dépêchés en urgence. Et il y a 14 prévenus, à quelques mètres des victimes et de leurs proches. Il y avait un contact visuel, des larmes des deux côtés, du repentir et de la frustration dans le silence obstiné d'un protagoniste majeur particulier. Mais des faits notables rappelés par l'avocat du principal accusé – « Si Sarah Abdeslam gardait le silence, ce procès n'aurait pas été exactement le même. Si c'était le cas, il y avait un profond sentiment d'échec. Probablement. »

Le seul survivant du commando a dit, mais ce n'était pas clair car il a refusé de coopérer pendant la phase d'enseignement. Il s'est excusé de lui avoir donné sa version des faits qui a été compromise par l'accusation. Mais qu'est-ce qui est le plus important ? Ses paroles? Ou a-t-il assisté tout le temps du procès pour entendre les histoires de ces vies brisées ? Personne ne peut juger s'il fera l'expiation de bonne foi. En revanche, c'est l'honneur du juge de paix de garantir la tranquillité de l'échange malgré l'ampleur du drame et telle période.