William Molinié, édité par Romain Rouillard06 h 47, 1er juillet 2022, 06h49, 1er juillet 2022
Fin du sommet de l'OTAN dans Madrid jeudi, la question de la position de l'alliance avec la Chine a été résolue. Si Pékin, comme la Russie, n'est pas directement identifié comme une menace, il a été présenté par l'organisation comme un "défi" au profit de l'organisation. Commentl'OTAN adopte-t-il la position devis-à-vis de Pékin ? Cette question a été largement débattue lors du sommetde l'OTAN à Madrid, qui s'est terminé jeudi, et a été atteint par les États membres. Cependant, trouver le bon mot pour désigner la Chine n'a jamais été aussi facile. Dans un nouveau concept stratégique, un document de 16 pages publié lors du sommet, l'Alliance présente pour la première fois la Chine comme un "défi" à ses intérêts.Sans parler de la "menace" également. Comme la Russie.
Néanmoins, la formulation n'est pas la préférence de Pékin, et je crois que l'OTAN s'en tient à polluer la politique étrangère de la Chine. Le président françaisEmmanuel Macrondéfend : "L'OTAN n'est pas une alliance avec la Chine, mais d'une part elle doit tenir compte des défis systématiques posés par la montée en puissance de la Chine dans ce domaine, tandis que la Chine etla Russie. La lutte du partenariat pour l'ordre international . La Chine a un défi, mais pas d'alliance à opposer ou à voir. Pour de nouveaux ennemis. "
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Si vous devez faire attention, il ne fait aucun doute que la Chine et la Russie sont au même niveau, la rigidité aussi. L'OTAN a critiqué Pékin pour ses opérations hybrides cyber-malveillantes, sa rhétorique considérée comme hostile ou ses activités de désinformation contre des alliés.
La question de la sécurité de l'Atlantique Nord est de plus en plus liée à la question de l'Indo-Pacifique, où la Chine est désormais presque directement en concurrence avec les intérêts américains.
