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La Cour suprême renforce le contrôle masculin sur le corps féminin

Six juges non élus, dont quatre nommés par un président minoritaire, seront le vendredi 24 juin dans la Constitution des États-Unis. A statué que c'était le cas ne protège pas le droit de contrôler le corps d'une femme. La décision de la Cour suprême dans l'affaire Dobbs v. Jackson Women's Health Organization se situe au carrefour de deux tendances de longue date dans l'histoire américaine : les impulsions théocratiques et la nature antidémocratique de l'institution. Le droit à l'avortement a été approuvé par la majorité des Américains et a été constamment confirmé depuis 1973, lorsque la même Cour suprême l'a considéré comme constitutionnel dans l'affaire Roe v. Wade. Une majorité existe au Congrès pour adopter la loi fédérale. A part ça... Les républicains disposent d'une arme mortelle de "filibuster" (une méthode de filibuster) pour bloquer ce texte. Cette impasse est faite par le père fondateur à la Cour suprême comme un "filtre" de la volonté de la majorité du Tout-Puissant. Une caractéristique de la composition actuelle est que quatre juges ont été nommés par le président défait dans les urnes, mais ont été élus par le système du collège électoral (président, John Roberts, W. Bush, Neil Gorsuch). , Ballot Box par Brett Cabano, Amy Connie Donald Trump). Deux candidats récents ont menti sous serment lors d'une audience de confirmation et ont décidé que "l'affaire Roe c. Wade" était conforme au droit établi et avait été une fois démis de ses fonctions après son entrée en fonction. Dès lors, la privation de dizaines de millions de femmes par la droite chrétienne se fait au détriment du faux témoignage et du respect de la majorité de la volonté (en quelques jours, 12 États ont déjà imposé l'interdiction de l'avortement. Et parfois il n'y a pas d'exceptions au viol) ou à l'inceste) des droits fondamentaux.