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Droit d'introduire une législation réglementant l'utilisation des indemnités de réintégration

Un texte qui a provoqué l'indignation de certains à gauche et dans le camp présidentiel.

Superviser l'utilisation de l'allocation de rentrée scolaire (ARS) pour lutter contre la fraude. C'est l'objet du projet de loi (PPL) présenté par le Groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale le 4 août dernier. Notamment, les signataires de ce texte, dont Annie Geneve, l'actuelle présidente de LR, et des représentants des jeunes Gardes de droite, comme Pierre-Henri Dumont et Virginie Duby-Muller, reconnaissent expressément que l'ARS sera rémunérée. proposer. Sous la forme d'un titre de paiement spécial appelé "Bons de rentrée", il peut être librement utilisé par les marques répondant à des critères objectifs.

Par ailleurs, ils proposent de reverser une partie de cette aide aux collectivités locales. Le gouvernement local "commande groupée" et livre le kit à l'élève dans le format suivant : fournitures scolaires. Enfin, les parlementaires LR ont aussi avancé l'idée que cette aide apportée aux familles dont les ressources tombent en dessous d'un certain plafond ne concerne que la production effective des certificats scolaires.

Réaction outrée

Le projet de loi de droite, qui a été dévoilé sur le site parlementaire au milieu de l'été, a déjà suscité de vives réactions. Par exemple, la porte-parole de Renaissance et députée Maud Brejon a plaisanté sur Twitter que . "S'il y a une valeur sûre pour Les Républicains, c'est leur attaque systématique contre les pauvres bâtards qui ne savent pas gérer leur argent de poche et cherchent à profiter de la solidarité nationale.", a déclaré le sénateur Xavier Iacobelli dans la campagne présidentielle pour lui.

Même indignation côté gauche. "Ceux qui ont refusé de taxer les super-profits et qui ont refusé de conditionner les aides aux entreprises s'attaquent désormais aux plus pauvres au cœur de la logique des vacances. Pas dignes.", s'est par exemple indigné le député Nupes Benjamin Lucas.

Sujet hautement inflammable

Cette proposition n'est pas nouvelle. Le député LR Pierre-Henri Dumont avait déjà déposé la même PPL en 2020 à l'initiative de ce texte. A cette époque, il y avait déjà beaucoup de réaction, et de nombreux politiciens l'ont condamné. "Des familles défavorisées.Les insoumis ne comprennent pas les principes de cette proposition.''justifie un député.

Jean-Michel Blancheur a suscité la polémique, pensant à l'idée de payer les allocations de rentrée scolaire sous forme de bons étaient "intéressantes".", suivi de "Achats d'écrans plats" a expliqué "Septembre est plus important que n'importe quel autre moment". Au sein de la gauche gouvernementale, ces propos avaient été critiqués à l'époque.