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Le "concert de pleureuses en lunettes noires", pas son truc : maintenant, Jacques Legros atomise les obsèques de Jean-Pierre Pernaut !

Le magazine

© Niviere David/ABACAPRESS.COM

Le mercredi 9 mars 2022, une semaine après la mort de Jean-Pierre Pernaut, ses proches s'étaient réunis pour ses obsèques à la basilique Sainte-Clotilde, dans le 7e arrondissement de Paris autour de sa femme, Nathalie Marquay, leurs deux enfants Lou et Tom, ainsi que son ex-épouse Dominique Bonnet accompagnée de Julia et Olivier, qu'elle a eu avec la star du 13h.

Le mercredi 9 mars 2022, une semaine après la mort de Jean-Pierre Pernaut, ses proches s'étaient réunis pour ses obsèques à la basilique Sainte-Clotilde, dans le 7e arrondissement de Paris autour de sa femme, Nathalie Marquay, leurs deux enfants Lou et Tom, ainsi que son ex-épouse Dominique Bonnet accompagnée de Julia et Olivier, qu'elle a eu avec la star du 13h.

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Parmi les journalistes et animateurs télés présents ce jour là, un nom manquait à l'appel, et c'est Jacques Legros.

 Parmi les journalistes et animateurs télés présents ce jour là, un nom manquait à l'appel, et c'est Jacques Legros.

© Niviere David/ABACAPRESS.COM

Joker de Jean-Pierre Pernaut pendant 24 ans, il avait choisi d'assurer le « 13 Heures » sur la Une, son hommage à lui rendu à JPP.

Joker de Jean-Pierre Pernaut pendant 24 ans, il avait choisi d'assurer le « 13 Heures » sur la Une, son hommage à lui rendu à JPP.

© Berzane Nasser/ABACA

Ce 6 octobre, celui qui vient de sortir un livre baptisé "Derrière l'écran, 40 ans au cœur des médias" a avoué qu'il n'avait pas que de nobles raisons de préférer le studio de TF1 ce jour là. Au directeur de l'information, Thierry Thuillier, qui lui a laissé le choix, il a répondu : "je suis le joker de Jean-Pierre, ma place est ici au journal". Et d'ajouter dans l'émission Buzz TV du Figaro : "me joindre au concert de pleureuses en lunettes noires, ce n'est pas mon truc. Et par respect pour Jean-Pierre, j'ai fait mon job de joker et on n'a parlé que de lui pendant ce journal en serrant les poings d'émotion".

 Ce 6 octobre, celui qui vient de sortir un livre baptisé "Derrière l'écran, 40 ans au cœur des médias" a avoué qu'il n'avait pas que de nobles raisons de préférer le studio de TF1 ce jour là. Au directeur de l'information, Thierry Thuillier, qui lui a laissé le choix, il a répondu : "je suis le joker de Jean-Pierre, ma place est ici au journal". Et d'ajouter dans l'émission Buzz TV du Figaro : "me joindre au concert de pleureuses en lunettes noires, ce n'est pas mon truc. Et par respect pour Jean-Pierre, j'ai fait mon job de joker et on n'a parlé que de lui pendant ce journal en serrant les poings d'émotion".

© Berzane Nasser/ABACA

Une remarque acide qui dénote avec ce qu'il avait dit par le passé. En mars dernier, c'est une toute autre version, plus consensuelle qu'il avait dévoilé à nos confrères de Télé loisirs.

Une remarque acide qui dénote avec ce qu'il avait dit par le passé. En mars dernier, c'est une toute autre version, plus consensuelle qu'il avait dévoilé à nos confrères de Télé loisirs.

© Niviere David/ABACAPRESS.COM

Il avait en effet assuré : "Thierry Thuillier [le directeur de l'information, NDLR] m'a demandé ce que je voulais faire. Je n'ai pas réfléchi longtemps".

 Il avait en effet assuré : "Thierry Thuillier [le directeur de l'information, NDLR] m'a demandé ce que je voulais faire. Je n'ai pas réfléchi longtemps".

© Niviere David/ABACAPRESS.COM

Et d'ajouter auprès de nos confrères : "J'ai estimé qu'en tant que joker officiel de Jean-Pierre pendant 25 ans, mon devoir était de faire le journal, comme je devais le faire quand Jean-Pierre n'était pas là. J'étais plus utile à cette place qu'à l'église Sainte-Clotilde".

Et d'ajouter auprès de nos confrères : "J'ai estimé qu'en tant que joker officiel de Jean-Pierre pendant 25 ans, mon devoir était de faire le journal, comme je devais le faire quand Jean-Pierre n'était pas là. J'étais plus utile à cette place qu'à l'église Sainte-Clotilde".

© Niviere David/ABACAPRESS.COM

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

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Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

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Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

© Berzane Nasser/ABACA

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT"

Jacques Legros n'enterre pas la hache de guerre avec Nathalie Marquay. Le journaliste vient d'en remettre une couche sur les obsèques de Jean-Pierre Pernaut.

Le mercredi 9 mars 2022, une semaine après la mort de Jean-Pierre Pernaut, ses proches s'étaient réunis pour ses obsèques à la basilique Sainte-Clotilde, dans le 7e arrondissement de Paris autour de sa femme, Nathalie Marquay, leurs deux enfants Lou et Tom, ainsi que son ex-épouse Dominique Bonnet accompagnée de Julia et Olivier, qu'elle a eu avec la star du 13h. Parmi les journalistes et animateurs télés présents ce jour là, un nom manquait à l'appel, et c'est Jacques Legros.

"Me joindre au concert de pleureuses en lunettes noires, ce n'est pas mon truc"

Joker de Jean-Pierre Pernaut pendant 24 ans, il avait choisi d'assurer le « 13 Heures » sur la Une, son hommage à lui rendu à JPP. Ce 6 octobre, celui qui vient de sortir un livre baptisé "Derrière l'écran, 40 ans au cœur des médias" a avoué qu'il n'avait pas que de nobles raisons de préférer le studio de TF1 ce jour là. Au directeur de l'information, Thierry Thuillier, qui lui a laissé le choix, il a répondu : "je suis le joker de Jean-Pierre, ma place est ici au journal". Et d'ajouter dans l'émission Buzz TV du Figaro : "me joindre au concert de pleureuses en lunettes noires, ce n'est pas mon truc. Et par respect pour Jean-Pierre, j'ai fait mon job de joker et on n'a parlé que de lui pendant ce journal en serrant les poings d'émotion".

>> A voir aussi : PPDA : et maintenant, bousillé par l’une des plus grosses stars du JT de TF1 !

Une remarque acide qui dénote avec ce qu'il avait dit par le passé. En mars dernier, c'est une toute autre version, plus consensuelle qu'il avait dévoilé à nos confrères de Télé loisirs. Il avait en effet assuré : "Thierry Thuillier [le directeur de l'information, NDLR] m'a demandé ce que je voulais faire. Je n'ai pas réfléchi longtemps". Et d'ajouter auprès de nos confrères : "J'ai estimé qu'en tant que joker officiel de Jean-Pierre pendant 25 ans, mon devoir était de faire le journal, comme je devais le faire quand Jean-Pierre n'était pas là. J'étais plus utile à cette place qu'à l'église Sainte-Clotilde".

"Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions"

Et ce jour là, il s'était ému : "On m'a dit que j'avais une sale tête, que je paraissais très crispé. C'est vrai qu'on était tous crevés car on était détruits. Honnêtement, j'ai fait le journal les poings fermés. Le plus dur était le jour des obsèques. Car il y avait une tristesse infinie. C'était dur, que c'était dur... Je suis un homme, je ne peux pas tricher, j'ai mes émotions. Mais il fallait quand même tenir la barque. C'était toute la complexité de ce JT". A-t-il menti sur ses vrais sentiments ?

F.A