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Aurélie Saada Diane Sagnier/SDP

«C’est une sorte de shabbat peu orthodoxe pour lequel je fais mijoter des plats issus de la culture juive tunisienne mais aussi des petites choses à partager tels une brioche tressée avec de la sauce tahini ou des bricks au thon.»

Si Aurélie Saada a intitulé son premier album solo Bomboloni *, du nom d’une gourmandise lui rappelant ses racines, ce n’est pas un hasard: cette chanteuse est une épicurienne et une cuisinière hors pair.

Quand le dimanche matin, elle descend du tourbus qui la ramène d’un concert donné en province, c’est donc chargée de produits régionaux achetés sur les marchés. Elle s’empresse alors de les cuisiner pour ses deux filles, sa mère et les copains qui s’invitent le soir autour de sa table ouverte hebdomadaire.

«C’est une sorte de shabbat peu orthodoxe pour lequel je fais mijoter des plats issus de la culture juive tunisienne - pkaïla, brania, loubia -, mais aussi des petites choses à partager tels une brioche tressée avec de la sauce tahini ou des bricks au thon, et des desserts comme des makrouds ou des guizadas à la pistache et à la rose. Nous sommes des gens exubérants mais pudiques, alors cuisiner est une façon de dire je t’aime», avoue-t-elle.

Et si son compte Instagram (@aureliesaada) montre…

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