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Éric Trochon. YACINE SADIK /SDP

«Si je me lève tard, c’est brunch ou un poulet rôti à la grand-mère avec des herbes, des petits oignons coupés, un peu de vin blanc, des pommes de terre…»

Dans le quartier de la rue Mouffetard, crêpe et kebab ne règnent plus en maîtres. Baca’v, Caluche, Chinaski, Le Bel Ordinaire… Dans le 5e arrondissement se multiplient les adresses gourmandes. Parmi elles, l’étoilé Solstice d’Éric Trochon: un incontournable. Tout près, ce meilleur ouvrier de France a ouvert aussi Otto, avec Stéphane Offner et Tony Alvarez-Parage: une nouvelle table dans l’esprit d’un izakaya japonais. Le cadre est décontracté, festif le soir. Les assiettes à commander à la volée sont extra.

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Le chef y est souvent au déjeuner hormis le dimanche où le repas familial s’organise à la maison. «Si je me lève tard, c’est brunch ou un poulet rôti à la grand-mère avec des herbes, des petits oignons coupés, un peu de vin blanc, des pommes de terre… Classique et simple. Tout est dans le choix du produit, un poulet du Gâtinais ou une poularde de la ferme du Pâtis. La volaille est une affaire sérieuse! Si ma femme cuisine, c’est coréen avec des choses simples là encore, des raviolis…

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Le Figaro

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