Répression.
Dans les centres de détention où les interrogatoires préliminaires sont menés avant que les manifestantes arrêtées soient envoyées en prison, les agents de renseignements des Gardiens de la révolution – armée idéologique du régime des mollahs – ont recours à toutes sortes de tortures et d’abus sexuels, relate “IranWire”, témoignages à l’appui.
Tandis que le mouvement de contestation se poursuit en Iran, pour la onzième semaine consécutive, le régime islamique et ses appareils sécuritaires diversifient leurs outils de répression pour tenter de mater la révolte, explique le média iranien d’opposition IranWire. “Dans les centres de détention temporaires, les soi-disant ‘émeutiers’ sont soumis à toutes sortes de tortures et d’abus sexuels par les Gardiens de la révolution, y compris le viol”, affirme le média, qui se base sur des récits rapportés notamment par une prisonnière et une ex-détenue.
IranWire raconte l’histoire d’Afsaneh, une jeune femme de 22 ans arrêtée durant les manifestations et violée à plusieurs reprises lors de son interrogatoire. “Afsaneh a été transférée à l’hôpital en raison de son état ment
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