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Alors que des femmes et des enfants ont été rapatriés en France, des hommes continuent à tuer et à mourir entre la Syrie et l’Irak. Avec des Français parmi eux.
C’est une guerre déjà presque oubliée. Pendant les rapatriements de femmes et d’enfants, des djihadistes de toutes obédiences, membres de l’État islamique ou opposés à Daech, continuent à tuer et à mourir entre Syrie et Irak. Avec des Français parmi eux.
Comme l’a confirmé une source officielle au Figaro, Sofiane Merabet, alias Abou Hamza selon sa kunya (nom de guerre), a ainsi été tué le 15 janvier dernier. Âgé de 28 ans, ce djihadiste originaire de Nice a trouvé la mort dans des affrontements entre son groupe, hostile à Daech, et l’armée syrienne dans le djebel al-Zawiya, massif montagneux situé à une trentaine de kilomètres au sud d’Idlib (nord-ouest de la Syrie). Il a été enterré dans la région le 16 janvier, les islamistes diffusant des images de la cérémonie et le message suivant: «Nous annonçons avec fierté à notre chère communauté la nouvelle du martyre du frère Abou Hamza, l’un des héros parmi les mouhadjirin (émigrants, allusion aux premiers compagnons du prophète, NDLR) français»
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