Migrations
Les associations ont obtenu la mise à l’abri des jeunes isolés qui campaient devant le conseil d’État depuis vendredi. Un accueil au rabais, regrettent les bénévoles, qui demandent un hébergement pérenne et une prise en charge médicale et sociale.
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Cinq nuits sous les fenêtres givrées du Conseil d’État et un hébergement provisoire au bout du compte. Mercredi matin, les plus de 350 jeunes exilés qui avaient installé un campement sur la place du Palais-Royal pour demander leur mise à l’abri d’urgence ont été pris en charge par la préfecture du Val-de-Marne et conduits dans des lieux d’hébergement. Sans garantie de pouvoir y passer l’hiver.
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