France
This article was added by the user . TheWorldNews is not responsible for the content of the platform.

Manifestation du 7 février contre la réforme des retraites en direct : les premiers cortèges s’élancent

Live en cours

Les deux premières journées de grève et de manifestations ont réuni plus d’un million de personnes et la dernière a même dépassé le record de participation de 2010. Nos journalistes sont mobilisés à Alès, Blois, Lille, Rodez et Paris pour suivre la mobilisation du jour et vous la raconter.

Manifestations contre la réforme des retraites, troisième round

  • Classes fermées, trains annulés et nombreux défilés prévus : les syndicats organisent mardi une troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites pour mettre la pression sur l’exécutif et les députés, qui viennent d’ouvrir les hostilités dans l’hémicycle.
  • Dans le secteur clé des transports, les grèves ont un peu moins d’incidence sur le trafic, mais la circulation des trains et des métros reste « fortement perturbée » à la SNCF et à la RATP.
  • Les grévistes d’EDF ont procédé, entre lundi et mardi, à des baisses de production d’électricité de près de 4 500 MW – l’équivalent de plus de quatre réacteurs nucléaires –, mais sans provoquer de coupures.
  • Unis contre le report de l’âge légal à 64 ans, les huit principaux syndicats français (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) espèrent une mobilisation aussi forte que les 19 et 31 janvier.
  • Vacances obligent, moins de grévistes sont attendus chez les enseignants. A l’université de Rennes-2, les étudiants ont voté le blocage lundi.
  • Avec plus de 200 rassemblements prévus dans le pays, une source sécuritaire évoque une fourchette de 900 000 à 1,1 million de manifestants, dont 70 000 à Paris. Pour encadrer les foules, 11 000 policiers et gendarmes seront mobilisés, dont 4 000 dans la capitale.

Tout le live

Troisième journée de grève contre la réforme des retraites, à Nice, le 7 février 2023.

Des lycéens se sont mobilisés mardi matin, comme à Rennes au lycée Jean-Macé ou à Marseille devant Victor-Hugo. A l’université de Rennes-2 et Jean-Jaurès à Toulouse, des étudiants ont voté le blocage lundi. Le campus de Lille II a aussi été brièvement bloqué, tandis qu’à Tolbiac, à Paris, plusieurs dizaines d’étudiants ont bloqué les ascenseurs et distribuaient des tracts devant l’entrée.

Effectivement, c’est prévu ! Les premiers cortèges devaient partir d’Alès (10 heures), de Marseille et de Nantes (10 h 30). Nous attendons les premiers chiffres des manifestations pour publier cette carte. Elle sera mise à jour au fil des décomptes remontés par diverses sources : les syndicats, le ministère de l’intérieur et la presse locale.

Entre la tentation de multiplier les journées de mobilisation contre le projet de loi du gouvernement et la volonté de ne pas mécontenter les usagers des transports, les organisations de salariés cherchent le « bon équilibre ».

Lire aussi : Réforme des retraites : les syndicats soucieux de conserver le soutien de l’opinion

Ajouter aux favoris

Pour ajouter l’article à vos sélections
identifiez-vous

Créer un compte
Vous possédez déjà un compte ?
Se connecter

« On ne peut pas gouverner longtemps contre son propre pays », avertit Olivier Faure

« On ne peut pas gouverner très longtemps contre son propre pays », a averti mardi matin sur LCI le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, appelant le gouvernement à renoncer à sa réforme des retraites.

« C’est 93% des actifs qui sont opposés à [ce texte], c’est les deux tiers des Français qui s’y opposent », a-t-il insisté. « Quand vous avez un texte qui est aussi profondément rejeté par une majorité aussi écrasante des Français (...), vous avez là un vrai problème démocratique », a déclaré M. Faure.

Le député de Seine-et-Marne a souligné que « le Parlement doit débattre et voter mais il y a aussi une légitimité populaire » et « il y aurait une logique démocratique à écouter le peuple français ». Et d’ajouter :

« Emmanuel Macron doit écouter les Français, il aurait dû négocier avec le monde syndical. Vous avez aujourd’hui un front syndical totalement uni, c’est assez inédit pour qu’on puisse le souligner ; il n’y a aucun syndicat qui approuve la réforme ».

La majorité va rester déterminée sur les retraites, assure le député Renaissance Marc Ferracci 

Le député Renaissance proche d’Emmanuel Macron Marc Ferracci a assuré mardi que « la détermination va rester » du côté de la majorité présidentielle pour faire passer le texte sur la réforme des retraites. « Parce que nous sommes convaincus qu’il y a un problème structurel dans notre système de retraite par répartition », a justifié l’élu au micro de Sud Radio.

« Cette réforme n’a pas vocation à résoudre toutes les imperfections du système [mais] il y a quand même des améliorations », a-t-il insisté, alors que le texte est examiné depuis lundi après-midi à l’Assemblée.

« Il est vrai que le 31 janvier [lors de la deuxième journée de mobilisation], il y a eu du monde », a-t-il complété, évoquant « beaucoup de Français qui sont inquiets des conséquences de cette réforme ».

Pour lui, « le rôle du débat parlementaire, c’est d’essayer d’en convaincre certains »« On sait qu’on ne convaincra pas tout le monde, il n’y a pas une seule réforme des retraites qui a été populaire, dans l’histoire », a-t-il rappelé.

Le député du Lot refuse toujours la main tendue par le gouvernement, qui n’a pas pris suffisamment en compte, selon lui, les carrières longues. Une quinzaine de députés seraient prêts à le suivre, défiant le président du parti, Eric Ciotti.

Lire aussi : Réforme des retraites : Aurélien Pradié sème la discorde chez Les Républicains

Ajouter aux favoris

Pour ajouter l’article à vos sélections
identifiez-vous

Créer un compte
Vous possédez déjà un compte ?
Se connecter

Calculez votre âge de départ à la retraite avant et après la réforme

A quel point cette réforme va-t-elle vous concerner ? En fonction de votre année de naissance et de votre situation familiale et professionnelle, la calculatrice ci-dessous vous permet d’évaluer à quel âge vous pourrez partir à la retraite.

La « ligne rouge » est, dans la novlangue politique, parmi les concepts les plus populaires en ces temps de conflit social concernant les retraites. Telle organisation ne veut pas entendre parler d’augmentation des cotisations, telle autre estime qu’il faut des dérogations pour les carrières longues, etc. Nous avons tenté de recenser au moins une partie de ces limites voulues infranchissables dans le cadre de la réforme des retraites présentée par le gouvernement d’Elisabeth Borne.

Lire aussi : Réforme des retraites : quels sont les points du projet qui cristallisent les débats ?

Ajouter aux favoris

Pour ajouter l’article à vos sélections
identifiez-vous

Créer un compte
Vous possédez déjà un compte ?
Se connecter

Sept de nos journalistes seront mobilisés sur le terrain (à Lille, Paris, Blois, Alès et Rodez) pour couvrir des manifestations. Différentes personnes des services photo, infographie et Les Décodeurs nous aideront à alimenter ce direct. Nos journalistes Mariama Darame et Jérémie Lamothe, qui suivent l’activité du Parlement, répondront à vos questions dans un tchat à midi. Et pour orchestrer tout ça, nous serons trois toute la journée à nous relayer derrière ce live.

Après l’épreuve de la rue, le gouvernement doit affronter celle de l’Assemblée pour faire passer son projet de réforme des retraites. Mais, sans majorité absolue, la tâche s’annonce périlleuse. Explications avec les journalistes du Monde Mariama Darame et Jérémie Lamothe, qui suivent l’activité du Parlement.

REPORTAGE | Avec 4 300 manifestants pour 13 700 habitants le 31 janvier, la préfecture de la Creuse incarne, avec d’autres villes petites et moyennes, l’opposition de la France rurale à la réforme des retraites.

Lire aussi : Contre la réforme des retraites, à Guéret, la « révolte » de la France rurale

Ajouter aux favoris

Pour ajouter l’article à vos sélections
identifiez-vous

Créer un compte
Vous possédez déjà un compte ?
Se connecter

La CGT Cheminots veut « augmenter le niveau de mobilisation »

La CGT Cheminots souhaite « augmenter le niveau de mobilisation » contre le projet de loi de réforme des retraites, a déclaré mardi matin sur Franceinfo le secrétaire général du syndicat, Laurent Brun, alors que les syndicats de la SNCF n’ont appelé qu’à manifester samedi.

Les syndicats de cheminots se réuniront « probablement en fin de semaine » pour étudier les prochaines journées de mobilisation proposées mardi soir par les syndicats interprofessionnels. Ils définiront « la manière dont les cheminots vont s’intégrer dans ces jours et éventuellement en faire un peu plus », a ajouté M. Brun. « Si on en reste à des journées comme celles-là, on en fait encore trois ou quatre, le gouvernement passe son projet », a-t-il mis en garde.

La CGT table sur « un cheminot sur trois » gréviste mardi. Pour la quatrième journée de mobilisation interprofessionnelle, prévue samedi, les syndicats représentatifs de la SNCF n’ont pas appelé à la grève mais ont enjoint les cheminots « à participer aux manifestations sur tout le territoire ».

« L’unité syndicale sur les journées interprofessionnelles n’est pas du tout remise en cause », selon M. Brun, qui considère le samedi de manifestation comme une « nouvelle modalité de mobilisation ».

Avant la manifestation à Blois

Tout au long de la journée, les correspondants du Monde seront mobilisés dans différentes villes pour suivre les manifestations contre la réforme des retraites.

A Blois, 8 500 manifestants le 19 janvier et plus de 10 000 le 31 janvier : les deux premiers actes de la mobilisation contre la réforme des retraites ont été massifs. Avec, à chaque fois, le même rituel : début de la manifestation depuis le parc des expositions de la Bouillie, traversée du quartier populaire de Vienne puis de la Loire par le pont Jacques Gabriel et remontée du vieux centre jusqu’à l’ascension de l’escalier Denis Papin. Le cortège est ici une longue ligne droite de travailleurs, qu’ils soient ouvriers chez l’équipementier automobile BorgWarner, artisans ou employés dans les plateformes logistiques de Mer, en Petite Beauce.

Jordan Pouille ( Blois, correspondant régional)

Philippe Martinez déplore « l’ego surdimensionné » d’Emmanuel Macron

Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a dénoncé mardi matin sur RTL « l’ego surdimensionné » d’Emmanuel Macron, accusé par le dirigeant syndical de vouloir faire passer la réforme des retraites à tout prix. Le chef de l’Etat veut « montrer que lui, il est capable de faire passer une réforme. Quel que soit l’avis de l’opinion publique, quel que soit l’avis des citoyens et c’est dangereux de raisonner comme ça », a déclaré M. Martinez. « Le président de la République joue avec le feu », a-t-il insisté.

Il a aussi appelé l’exécutif et les députés, qui ont commencé lundi l’examen du texte, à « écouter le peuple ». « Si (...), une fois qu’on est élu, on fait ce qu’on veut et on n’écoute plus, forcément, il ne faut pas s’étonner (...) de l’abstention et du risque que dans quelques années (...) ça soit le Rassemblement national qui prenne les clés de l’Elysée », a fait valoir M. Martinez.

Dans un entretien au journal La Croix mardi, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a également enjoint l’exécutif à écouter le mouvement social. « Le 31 janvier, 1,27 million de personnes ont refusé pacifiquement la réforme dans la rue. Quelle serait la perspective si elles ne recevaient pas de réponse ? Faut-il l’outrance, la violence et la hargne pour se faire entendre ? » a-t-il interrogé en référence au mouvement des « gilets jaunes ». « Ce n’est pas une menace – je me battrai pour rester dans un cadre respectueux –, mais on ne peut répondre à cette tension sociale que par l’exercice démocratique du pouvoir. Cela passe aussi par l’écoute de la société », a-t-il mis en avant.

Plus de 50 % de grévistes chez TotalEnergies selon la direction, entre 75 et 100 % d’après la CGT

Plus d’un salarié sur deux (56 %) des raffineries TotalEnergies étaient en grève mardi à l’appel de la CGT, selon la direction, et entre 75 et 100 % selon les sites, a estimé le syndicat. « Les expéditions de produits au départ des sites de TotalEnergies sont interrompues ce jour », a également annoncé la direction.

La CGT dénombrait 75 % de grévistes à la bio-raffinerie de La Mède (Bouches-du-Rhône), 87 % à la raffinerie de Normandie, la plus importante de France, 90 % à la raffinerie de Donges (Loire-Atlantique), et 100 % au dépôt de carburants de Flandres, près de Dunkerque (Nord).

La direction de TotalEnergies a aussi précisé qu’« il n’y a pas de manque de carburants » dans les stations-service du groupe et assuré que « les stocks en dépôts et en station-service sont à un niveau satisfaisant ».

Olivier Dussopt défend une réforme « nécessaire » pour « sauver » le système

Invité sur RMC mardi matin, le ministre du travail, Olivier Dussopt, a plaidé en faveur d’une réforme des retraites « nécessaire parce que si on tient au système, qui est déficitaire, il faut le sauver »« Nous avons aujourd’hui un peu plus d’1,5 cotisant pour un retraité. Il y a 30 ans, c’était trois cotisants pour un retraité. Il faut faire quelque chose », a insisté le ministre, ajoutant : « Le système sera déficitaire d’1,8 milliards en 2023. Dès 2027, c’est 12,5 milliards par an. (...) Si on ne fait rien, il n’y a pas de nouveau droit. »

La réforme « n’est pas injuste pour les femmes », a également assuré M. Dussopt. Selon l’étude d’impact du projet de loi présenté le 23 janvier par le gouvernement, la réforme va pousser les femmes à prolonger un peu plus leur activité que les hommes. « Jusqu’à il y a un an, les femmes partaient plus âgées que les hommes, parce que leurs carrières sont hachées. Aujourd’hui, c’est le même âge », a justifé le ministre. Sur la question des trimestres de maternité, « on va ouvrir un débat sur les droits familiaux », a-t-il affirmé.

Quelle est la légalité de ces initiatives ? Pour un salarié du privé, est-ce compliqué de se mettre en grève et faut-il déposer un préavis ? Que perd-on en rémunération ? Nos réponses à vos questions :

Lire aussi : Droit de grève : préavis, rémunération, réquisitions… Que dit la loi ?

Ajouter aux favoris

Pour ajouter l’article à vos sélections
identifiez-vous

Créer un compte
Vous possédez déjà un compte ?
Se connecter

Manifestations contre la réforme des retraites, troisième round

  • Classes fermées, trains annulés et nombreux défilés prévus : les syndicats organisent mardi une troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites pour mettre la pression sur l’exécutif et les députés, qui viennent d’ouvrir les hostilités dans l’hémicycle.
  • Dans le secteur clé des transports, les grèves ont un peu moins d’incidence sur le trafic, mais la circulation des trains et des métros reste « fortement perturbée » à la SNCF et à la RATP.
  • Les grévistes d’EDF ont procédé, entre lundi et mardi, à des baisses de production d’électricité de près de 4 500 MW – l’équivalent de plus de quatre réacteurs nucléaires –, mais sans provoquer de coupures.
  • Unis contre le report de l’âge légal à 64 ans, les huit principaux syndicats français (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU) espèrent une mobilisation aussi forte que les 19 et 31 janvier.
  • Vacances obligent, moins de grévistes sont attendus chez les enseignants. A l’université de Rennes-2, les étudiants ont voté le blocage lundi.
  • Avec plus de 200 rassemblements prévus dans le pays, une source sécuritaire évoque une fourchette de 900 000 à 1,1 million de manifestants, dont 70 000 à Paris. Pour encadrer les foules, 11 000 policiers et gendarmes seront mobilisés, dont 4 000 dans la capitale.

Avant la manifestation à Alès, dans le Gard, au cœur d’un bassin mino-métallurgique en convalescence

Tout au long de la journée, les correspondants du Monde seront mobilisés dans différentes villes pour suivre les manifestations contre la réforme des retraites.

A Alès, sous-préfecture du Gard qui compte 40 000 habitants, près de 10 000 personnes ont participé à la manifestation du 19 janvier – du jamais vu depuis des années. L’affluence n’a pas faibli le 31 janvier. Entre ces deux dates, des rassemblements ont été organisés devant la sous-préfecture du Gard et des réunions d’information dans les villages des environs.

Dans cette petite ville de province, sur un territoire économiquement défavorisé, cette forte mobilisation rappelle à beaucoup les années 1970, lorsque toute la ville défilait contre la fermeture des mines. Depuis, malgré l’arrivée de certaines industries (Alstom, Crouzet, Schneider Electric…), le bassin mino-métallurgique semble être en convalescence et peine à retrouver son dynamisme. Le chômage y est toujours important (27 % des 15-69). Située aux portes des Cévennes, la ville est aussi devenue une place forte des anti-Macron, allant de ceux qui s’opposent à la réforme de l’assurance-chômage à ceux qui ne voulaient pas entendre parler du passe vaccinal.

Agathe Beaudouin (Nîmes, correspondante )

Le contexte

  • Après deux journées de grève et de manifestations, les 19 et 31 janvier, dont la dernière a dépassé le record de participation de 2010, l’intersyndicale a annoncé deux nouvelles journées d’action, les mardi 7 et samedi 11 février. Nos journalistes sont mobilisés à Paris, Alès, Blois, Lille ou Rodez pour vous raconter la journée.
  • La deuxième journée de mobilisation a réuni le 31 janvier plus de 1,27 million de personnes, selon le ministère de l’intérieur (plus de 2,5 millions, selon les syndicats), soit davantage que la première du 19 janvier (1,12 million de personnes, selon les autorités), et que le record historique de 2010. « Il faut amplifier » la mobilisation, a enjoint le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger. Les syndicats restent toutefois prudents sur leurs chances d’égaler la mobilisation du 31 janvier.
  • Dans l’opinion, la contestation va grandissante contre la réforme phare du second quinquennat Macron. Mais le gouvernement n’en démord pas : elle est « indispensable » pour « préserver notre système de retraites par répartition », a réaffirmé jeudi la première ministre, sans dévier sur le report de l’âge de départ de 62 à 64 ans.
  • Tchat. La bataille sur la réforme des retraites, qui s’est également engagée lundi après-midi à l’Assemblée, promet par ailleurs d’être une course d’obstacles pour le gouvernement. Mariama Darame et Jérémie Lamothe, journalistes en charge du Parlement, répondront à vos questions à partir de 12 heures.

Nos contenus sur la réforme des retraites :

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.