Depuis juin 2021, la détention provisoire d'un rappeur accusé d'"agressions sexuelles" et de "violences" sur une ancienne petite amie a été confirmée jeudi par la cour d'appel de Paris.
La cour d'appel de Paris provisoirement jeudi pour avoir violé le contrôle judiciaire du rappeurMoha La Squaleinculpé d'"agressions sexuelles" depuis juin 2021. Détention confirmée. "Et des "violences" à l'encontre d'une ancienne compagne, a appris vendredi l'AFP de sources judiciaires.
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Le Parisien a révélé à la mi-juin qu'un rappeur avait été arrêté à la gare du Nord à Paris lors d'une descente depuis le Thalys, en Allemagne. Mandat d'arrêt pour sa violation du contrôle judiciaire.
Moha La Squale, de son vrai nom Mohamed Bellahmed, a ensuite été arrêté et il a fait appel. Jeudi, devant la salle d'instruction de la cour d'appel de Paris, Mohara Squale a lâché ses longs cheveux, vêtue d'un survêtement gris et noir, lors d'une audience où l'AFP était présente mais le huis clos a aussitôt été prononcé.
Le juge a confirmé son placement en détention provisoire, selon des sources judiciaires. "Les faits sont contestés, et M. Belahmed se réjouit que l'enquête judiciaire ait commencé, car il a une ferme volonté de se défendre, ce qu'il a déjà commencé."Inculpez son avocate MeElise Arfi, qui se montrait à l'époque.
"Je n'ai jamais levé la main sur une femme. Ce complot a été perpétué pour me faire du mal.", l'artiste sur Twitter fin avril 2021 m'a protégé.
Moha La Squale a été inculpée de violence conjugale, d'agression sexuelle conjugale, de menaces de meurtre conjugal et d'enlèvement de diverses victimes, et a été placée sous contrôle judiciaire. Il a fait l'objet d'au moins six plaintes, dont la plupart ont été révélées en septembre 2020.
Moha La Squale a été l'une des grandes révélations de 2018, et l'auteur du premier albumBenderoa été salué par le grand public (disque d'or, plus de 50 000 exemplaires vendus) et par la critique. Le mouvement
#MeToo a changé le monde de la musique française avec #MusicToo, apparu sur Instagram à l'été 2020 avec un compte du même nom. Cet outil, selon ses chiffres, a attiré des centaines de victimes de harcèlement et d'agressions sexuelles.
