Réservé aux abonnés

Comme les sept autres enceintes qui accueilleront la Coupe du monde au Qatar du 20 novembre au 18 décembre prochain, le stade Lusail, près de Doha, est entièrement climatisé. KARIM JAAFAR/AFP

De nombreuses villes de gauche, comme Paris et Lille, n’organiseront pas de diffusions de la compétition.

La mairie de Paris n’aura pas résisté longtemps. Lundi soir, quelques heures après l’appel au boycott de la Coupe du monde«dans l’espace public parisien» formulé par les écologistes de la capitale, la municipalité a suivi le mouvement: il n’y aura pas d’écran géant pour diffuser les matchs du prochain Mondial au Qatar (20 novembre-18 décembre). «Pour nous, il n’a pas été question d’installer des zones de diffusion en raison des conditions de l’organisation de cette Coupe du monde, a assuré à l’AFP Pierre Rabadan, adjoint chargé du Sport. C’est un modèle de grands événements qu’on ne souhaite pas voir se pérenniser.»

Une position qui ne manque pas de faire réagir, alors que les liens entre la capitale et le Qatar, propriétaire du PSG depuis 2011, sont multiples. «Je regrette que Mme Hidalgo puisse prendre des mesures alors qu’elle compte beaucoup sur l’image du PSG tout au long de l’année», a pesté le copropriétaire de l’AS Saint-Étienne Bernard Caïazzo, résident aux Émirats arabes unis à…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 74% à découvrir.

Le Figaro

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.

Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois

Déjà abonné ? Connectez-vous

La rédaction vous conseille