Don’t Worry Darling, d’Olivia Wilde. Merrick Morton

CRITIQUE - La réalisation soignée d’Olivia Wilde nous entraîne dans l’Amérique des années 1950.

La vie d’Alice et Jack est idyllique: belle maison, bon travail, superbe mariage. Et c’est le même schéma pour chaque voisin. Tout bascule lorsqu’une amie d’Alice se suicide… D’emblée, la qualité de l’image séduit. L’ambiance rétro-futuriste des années 1950 est recréée à merveille, aussi bien dans les décors que dans les plans eux-mêmes.

Couleurs vibrantes, symétrie, jeux d’optique: tout est soigné au millimètre près, comme le jeu des acteurs. Seuls défauts: la narration manque parfois de relief, et le message délivré («soyons libres») pèche par son traitement trop sommaire. Dommage!

Don’t Worry Darling, d’Olivia Wilde, avec Florence Pugh, Harry Styles et Chris Pine (déjà en salles).

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