France
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Le plus beau marché de France, la mort de Jean-Pierre Pernot, sa maladie... confession de Marie Sophie La Carau

Des animateurs ont avoué avoir fait le plus beau marché de France avant l'édition spéciale du journal de 13 heures de TF1, qui s'est tenue à la Halle de Narbonne le jeudi 30 juin. Marie Sophie Lacarau se réjouit également de la saison à venir, avec un regard rétrospectif sur la fin de saison.

Narbonne a remporté le concours des plus beaux marchés de France et a été largement plébiscitée.

Oui, c'est incroyable. L'an dernier, Narbonne a mené très longtemps et a terminé à la deuxième place, mais ils ont réalisé que la victoire leur avait un peu échappé et ils l'ont visée. Ils ont mis toute leur force dans la lutte dès le premier jour en exigeant un vote très fort, ils ont grimpé très vite dans le classement et creusé l'écart sans faiblir. Narbonai peut être fier d'eux-mêmes. Cette victoire, ils la voulaient vraiment, et ils ne l'ont pas lâchée.

Qui a été soutenu par le jury ?

L'Occitanie peut vous gonfler la poitrine : Notre "Super Julie" coup de cœur, la nouveauté de cette année, était le Marché de Revel (Haute-Garonne). Deux marchés à l'honneur se trouvent dans la région. Ne perdez pas votre joie (rires).

Parce que ce domaine vous appartient.

Oui, je suis satisfait. J'aime tous les domaines, mais mon coeur penche vers l'Occitanie. Le marché concurrentiel était très bon, mais je suis très content de voir Narbonne et le niveau se démarquer. Produit, décors, ambiance... Cochez toutes les cases.

Cette compétition est-elle unifiée ?

Oui, avec plus de 2,3 millions de votes cette année, j'ai l'impression que la ville est en vue et le crescendo qui peine à attirer l'attention grandit. Vous recevrez de nombreuses vidéos, T-shirts, tabliers et plus encore. Des produits dérivés créés pour cette opportunité tout au long de la série.

Comment analyseriez-vous ce succès ?

Le marché parle à tout le monde. Beaucoup d'entre nous ont les leurs, mais ce sont aussi d'excellentes portes d'entrée pour découvrir les régions, leurs habitants, leurs coutumes et leurs produits. Et c'est là que l'on fait quelque chose de bien par soi-même, où l'on prend le temps de discuter avec les commerçants. On y entend l'accent. Quand ça crie, quand on harcèle la foule, c'est vibrant et pétillant.

Ce marché de Narbonne vous était familier.

Oui, j'ai vécu un moment à Narbonne, et quand j'étais jeune, parfois quand je quittais la boîte de nuit, on allait au marché avec un groupe d'amis que je faisais. Le marché a commencé, je suis venu manger de la viande et je suis allé me ​​coucher... Je suis allé au marché avec mes enfants en poussette. Je le sais bien. Comme Burke, j'aime vraiment cet endroit. (Bâtiment du Centre, note de l'éditeur).

Cette rencontre marque la fin de la saison. Comment votre public a-t-il évolué ?

Il reste à un niveau exceptionnel pour un journal à midi, autour de 39 %. Il compte en moyenne 4,5 millions de téléspectateurs.

Cette année, le décès de Jean-Pierre Pernot, qui venait de vous passer la main, a fait date.

Oui, nous étions tous bouleversés, nous le sommes encore aujourd'hui. Nous pensons à Jean-Pierre tous les jours. Jean-Pierre est dans nos têtes quand on lance le sujet et quand on choisit le reportage.

Des problèmes de santé m'ont éloigné de l'actualité pendant cinq mois. Comment avez-vous vécu cette période ?

J'étais sur le point de reprendre les ondes en janvier pour fêter ma première année de commandement du 13 H avec l'équipe, mais je souffre de cette maladie chronophage, je l'ai appris. (Kératite amibienne, ndlr qui l'a obligée à vivre dans le noir pendant deux mois), c'est un arrêt forcé et brutal qu'il a fallu gérer.

Team Jack Lugros, Julian Arnaud a assuré la continuité en mon absence. Maintenant la maladie est derrière moi, je suis de retour, et je suis contente de pouvoir tourner cette page. Cela aurait été pénible.

Vous avez presque perdu la vue.

Oui, c'était l'une des horreurs à un moment donné, mais heureusement, j'ai été pris en charge très rapidement. Il était aussi très bien entouré de ses proches, de ses collègues et de TF1. J'ai reçu beaucoup de soutien, ce qui m'a aidé à traverser cette épreuve.

Le retour a été déterminé par l'intensité de la lumière sur le plateau.

Bien sûr, je ne pouvais pas travailler avec un éclairage à 100 % sur le plateau et mes yeux étaient insupportables, j'avais donc deux semaines prêtes avant de reprendre la diffusion à la mi-mai. J'ai fait un journal vierge tous les jours pour tester mes yeux. Nous avons pu trouver une lumière acceptable pour la caméra, le spectateur et mes yeux.

Combien de temps sera-t-il diffusé ?

Jusqu'au 8 juillet, puis lors de la cérémonie le 14 juillet, et en vacances au sud de l'Occitanie. Chaque fois que j'aime la région, j'y retourne toujours (rires).

Rendez-vous à la rentrée prochaine. Les expériences JT changent.

J'ai toujours considéré les journaux comme une source vivante et je continue de m'adapter aux changements et aux préoccupations de la société. Notre règle numéro un est de rester ancrés dans notre territoire, la proximité et le quotidien, et nous avons la volonté d'être un journal qui parle à ceux qui sont sans voix sur cette question. Nous allons lancer un nouveau format. J'aimerais souligner les jeunes qui ont choisi de rester dans notre région et les dynamiser. Montrez également ce qui fonctionne et ce qui mérite d'être encouragé