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Candidat à la présidence des Républicains, le sénateur a choisi la Cité phocéenne pour conclure sa campagne avant un dernier coup de reins vendredi, sur ses terres de forces dans l'Ouest.
Quarante-huit heures pour convaincre avant le second tour d'une élection capitale. Jeudi soir, Bruno Retailleau a choisi Marseille comme symbole d'une droite à reconstruire pour défendre le projet de «rupture» qu'il promet de mettre en œuvre s'il parvient à décrocher, dimanche, la présidence des Républicains. «Marseille me plaît parce que Marseille me parle. Les Marseillais sont à la fois des gens francs et libres, dans l'esprit de cette campagne que j'ai voulu mener dans un esprit de franchise et de vérité. Car la politique a besoin de sincérité et c'est pourquoi j'ai mis mes tripes sur la table», explique le candidat, sur la route de la Cité phocéenne. Si Bruno Retailleau insiste sur cette notion de sincérité, c'est pour mieux souligner en contraste le «en même temps» d'Emmanuel Macron dont il dénonce la «formidable insincérité».
Le sénateur de la Vendée avait effectué ses premières réunions de campagne à Marseille et c'est ici qu'il voulait conclure son parcours, avant de consacrer sa…
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