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Bruno Retailleau, le 26 novembre, au Conseil national des Républicains
Bruno Retailleau, le 26 novembre, au Conseil national des Républicains
Bruno Retailleau, le 26 novembre, au Conseil national des Républicains GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP

Le président du groupe LR au Sénat s'est qualifié dimanche avec 34,45% des suffrages. Il sera face à Éric Ciotti au second tour.

Pari réussi. En franchissant le premier tour de scrutin dimanche soir, Bruno Retailleau vient-il de s'ouvrir un chemin vers la victoire dans une semaine ? Le parlementaire de la Vendée, président des sénateurs LR, avait hésité jusqu'au dernier moment avant de se lancer dans l'aventure de la présidence des Républicains. Comme il l'a rappelé maintes fois au cours d'une campagne menée tambour battant, le président de Force Républicaine (l'ex-parti de François Fillon) avait regretté le renoncement de Laurent Wauquiez à briguer cette présidence LR. Il le voyait comme la bonne solution pour rassembler les troupes autour d'un projet pour 2027, sans penser pour autant que le mouvement devait le propulser trop tôt en position de candidat officiel de la droite. Un argument qui a fait mouche chez une partie des électeurs, réjouis de voir qu'Éric Ciotti ne s'est pas qualifié dès le premier tour. «Il est où l'effet Wauquiez ?», ironisait dimanche soir un ténor du parti.

«LR est une marque morte»

Prenant acte de la décision…

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Le Figaro

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