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"Promis, la semaine prochaine..." : Nicolas Fresco fait son mea culpa et présente ses excuses à Polska et Tootatis dans "Quotidien"... avec beaucoup de "second degré"

Une affaire qui a fait parler tout au long de la semaine. Le vendredi 24 mars, Nicolas Fresco a suscité la colère des influenceuses Polska et Tootatis. Les deux amies se sont filmées lors de la journée de mobilisation contre la réforme des retraites avec un slogan précis : "les formes contre la réforme". De quoi susciter quelques moqueries du côté de "Quotidien". En effet, le journaliste Nicolas Fresco, dans sa chronique "L’influencé" qu’il présente chaque vendredi sur TMC, a interpellé les deux jeunes femmes.

"Une influenceuse avec un nom de vodka et l’autre avec un nom d’attraction du Parc Astérix, qui sont notamment célèbres pour s’être fait recaler d’un restaurant à cause de leur décolleté plus profond que le trou de la Sécu. Sans le son on dirait plutôt qu’elles vont voir un match au stade de France", avait-il déclaré face à un Yann Barthès hilare.

Mais si Nicolas Fresco a fait rire l’animateur, du côté des principales intéressées, la colère régnait. "Je m’adresse directement à toi Yann Barthès car je ne connais pas le nom de ton chroniqueur aux cheveux gras", a alors répondu Polska dans une vidéo publiée le dimanche 26 mars pour répondre au journaliste de "Quotidien".

"Yann Barthès, à 48 ans, tu trouves ça encore normal qu’en 2023, on puisse toujours faire des chroniques à la télé vues par des centaines de milliers de personnes, hyper sexistes et hyper misogynes ? Ce n’est pas parce que c’est sous couvert d’humour que ça passe mieux ! Au lieu de parler de l’acte en lui-même, vous vous êtes arrêtés à des faux ongles et à un décolleté", a-telle déploré par la suite.

À voir également : "Ridicules", "inintéressantes", "recherche de buzz" : Polska et Tootatis lynchées après leur passage dans TPMP

Nicolas Fresco répond à Polska et Tootatis

Muet jusqu’ici, Nicolas Fresco a enfin pu répondre aux accusations dont il fait l’objet. Il a d’abord plaidé la "maladresse" et le "second degré" avant de rappeler que "derrière les influenceurs, derrière le buzz, derrière les filtres, il y a des opinions, une vraie influence et des personnes dont on attend un engagement". "toute une industrie, tout un système plus complexe, où s’entremêlent pouvoir économique et même parfois économique et politique", a-t-il poursuivi avant de concentrer sa chronique sur le projet de loi qui vise à encadrer le travail des influenceurs.

Malgré tout, le journaliste de "Quotidien" a conclu sa chronique tout en promettant : "la semaine prochaine, on reprendra la revue de presse des influenceurs habituelle, avec du second degré et surtout des cheveux bien gras." Une dernière déclaration, directement adressée à Polska qui a pointé du doigt l'entretien capillaire de Nicolas Fresco.

R.F