Réservé aux abonnés

À l'hôpital Émile Muller, à Mulhouse, en février 2021.
À l'hôpital Émile Muller, à Mulhouse, en février 2021.
À l'hôpital Émile Muller, à Mulhouse, en février 2021. SEBASTIEN BOZON / AFP

DÉCRYPTAGE - La concertation annoncée par l'exécutif pour «déterminer l'ensemble des critères de réussite de cette réforme» devra convaincre et rassurer.

Envoyer les internes en médecine générale dans les déserts médicaux pour améliorer l'accès aux soins ? «Cela ne résoudra pas le problème sur le long terme, et va même l'empirer sur le court terme», cingle un représentant syndical. Dévoilée par l'exécutif à l'occasion de la présentation du budget de la sécurité sociale (PLFSS), cette piste inquiète les organisations des internes, qui se tiennent prêts à se mobiliser pour la remodeler.

Les ministres de la Santé et de l'Enseignement supérieur et de la recherche ont annoncé lundi dernier l'ajout «d'une quatrième année au diplôme d'études spécialisées de médecine générale». Un moyen, selon Sylvie Retailleau et François Braun, d'aligner la formation des futurs médecins généralistes sur celle des autres spécialités, d'une part, et de renforcer l'offre de soins dans les «territoires les moins pourvus en médecins généralistes», en incitant les jeunes à s'y rendre.

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 87% à découvrir.

Le Figaro

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.

Continuez à lire votre article pour 0,99€ le premier mois

Déjà abonné ? Connectez-vous

La rédaction vous conseille

Quatrième année dans les déserts médicaux : pourquoi les internes sont inquiets

S'ABONNERS'abonner