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Retour de Syrie : En Belgique, des retours encadrés et étroitement surveillés

En 2021 et 2022, la Belgique était sous contrôle kurde depuis la défaite de laSyrie, Daech. Le 21 juin, en raison de la situation désastreuse du camp, cinq mères, grands-mères et 16 enfants ont récemment été autorisés à arriver sur le territoire belge à bord d'avions militaires avec du matériel médical. Il y a un an, le 17 juillet 2021, 10 enfants avec 6 mères rentraient chez eux. Avant chaque opération, il y a une mission consulaire, qui est associée au renseignement.

Directement via la prison

La femme est allée directement en prison à son retour après avoir accepté d'être rapatriée et s'être engagée à abandonner son idéologie musulmane. Tous sous mandat d'arrêt, ils risquent jusqu'à cinq ans de prison. De leur côté, les enfants étaient pris en charge par les organismes sociaux dès leur arrivée.

Les femmes de retour seront suivies de près par l'Agence d'analyse et de coordination des menaces (Ocam) en collaboration avec des chercheurs de l'Université libre de Bruxelles (ULB) ainsi que des services nationaux de renseignement et de sécurité. ), Inclut les psychologues cliniciens qui fournissent des« conseils »à des fins de réintégration. "Les personnes les plus radicales font l'objet d'une surveillance personnelle et prioritaire par les services de sécurité. Il n'y a pas de risque zéro, mais cette approche réduit considérablement le risque., garantit Ocam.

Depuis le début du conflit en Syrie, environ 60 enfants sur un total de 140 ont été rapatriés. Six enfants seraient morts dans un camp syrien. Pour des raisons humanitaires et de sécurité, laBelgiques'est engagée à ne rapatrier que les mineurs de moins de 12 ans. Aujourd'hui, non seulement 15 hommes belges sont coincés dans le nord de la Syrie, mais 5 femmes et 8 enfants pourraient y rester. Ces femmes n'ont pas d'enfants, n'ont pas le droit de rentrer chez elles, n'ont pas la nationalité belge et refusent de quitter leurs enfants de peur de le revoir. D'autres refusent finalement de revenir.

Sous la contrainte de la justice

La Belgique a volontairement rapatrié. Il y a certainement été contraint par une décision de justice. Un juge d'un tribunal néerlandais à Bruxelles, saisi par sa mère le 26 décembre 2018, a déclaré que le pays devait prendre"toutes les mesures nécessaires et possibles" au profit des enfants. 27} Pour les ramener. Il lui a donné 40 jours pour se conformer au gouvernement et une amende de 5 000 € par jour et une amende par enfant. Les droits nationalistes de Franken ont été violemment protestés par la voix de l'ancien secrétaire d'État Theo Franken."Le califat vit plus longtemps grâce à l'État de droit en Belgique !", a tweeté l'homme politique.

L'actuel Premier ministre belge, Alexander Decrew, soutient que les enfants"n'ont pas à payer pour les choix de leurs parents". L'approche pratique choisie par l'administration semble très convaincante pour la Belgique. "Pour notre sécurité nationale, les retours contrôlés sont la meilleure garantie d'un bon suivi par tous les services compétents.répète Ocam. Sécurité du camp La situation est si vulnérable qu'une évasion ne peut être exclue. Si un personne disparaît du radar des services de sécurité, le risque est certainement beaucoup plus élevé à long terme.

Récemment, les médias locaux ont évoqué la question du retour au Japon après leprocèsdu Attaques terroristes simultanées à Paris le 13 novembre 2015 et apparition de Sarah Abdeslam. La menace des femmes et des enfants déportés est bien moindre que dans le quartier de Mohrenbeek Sanjan, où Abdeslam peut grandir et demain d'autres jeunes gens ordinaires peuvent se radicaliser.