L'homme qui a lancé la bombe incendiaire " Nasi " dans les champs de La Chapelle d'Alene avant de prendre la fuite le le 12 août dernier a été condamné à six peines de prison .. c'était fait. mois de prison.
Un homme de 40 ans accusé de deux incendies Un homme qui commence,Sarthea été condamné à six mois de prison au Mans mardi, en pleine canicule il y a quelques jours.
Il a été décidé en comparution immédiate que le prévenu avait, dans la nuit du 12 août, détruit deux parcelles d'un champ et d'une forêt à la Chapelle d'Aligne, commune située au sud d'un département dans une région. Planification Il y a une maison à moins de 200 mètres.
Malgré la sécheresse, grâce à l'intervention rapide des pompiers, le maire précise que ses feux se limitent aux "haies et herbes sèches le long de la route". Une commune citée dans le journal Le Maine Librequi était en cours de publication.
Un fermier de la ville qui a suivi l'incendiaire présumé jusqu'à son domicile a découvert que ce dernier avait été arrêté par la police militaire. Chez lui, les enquêteurs ont trouvé des allume-feu, une torche et de l'essence.
Il aurait expliqué aux gendarmes que l'idée de l'incendie criminel lui était venue "alors qu'il regardait la télévision",note le président du tribunal. Le prévenu, qui se sentait "certaine attraction", aurait voulu voir "comment c'était au sol".
Un homme en garde à vue a reconnu être responsable de deux incendies après trois audiences, selon le juge en chef.
L'accusé, père de famille, divorcé depuis 15 ans et ayant travaillé pour la même entreprise pendant 23 ans, a été "particulièrement affecté par le COVID-19",a déclaré son Me Donya Forghani, , a souligné : a demandé au tribunal une expertise psychiatrique.
À 40 ans, il aurait eu du mal en confinement. Pendant ce temps, il a été hospitalisé pour dépression.
Après délibération, le tribunal l'a condamné à 12 mois d'emprisonnement, dont 2 ans avec sursis et 6 mois avec sursis. Compte tenu de son absence de casier judiciaire et de son insertion sociale et professionnelle, il risque une peine ferme sous bracelet électronique.
