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Depuis l'arrivée au pouvoir des talibans à Kaboul, le problème des toxicomanes ne s'est pas atténué dans la capitale afghane. Le Telegraph passe sous le pont Pulleskta et publie sur place des reportages et des photos de la situation dramatique.
Arrivé sous le pont, ce noir que j'enfile Je ne sais rien de la forme recourbée face à la masse. Ces hommes sales et usés ressemblent à des prisonniers jetés dans une prison médiévale crasseuse. Un corps stationnaire à proximité au bord de la rivière donne à toute la scène une scène d'accidents aériens et d'avions dévastés sur le champ de bataille.
Environ un 000 toxicomanes ont été évacués sous ce pont dans cette partie ouest de la capitale afghane. Il sera éclairé un instant par la flamme du briquet pour distinguer le visage. Certains hommes aux yeux de ciel vitreux ont un squelette et ont probablement peu de temps à vivre. Certaines personnes, comme les zombies, se tiennent blanches avec leurs épaules recroquevillées.
Des groupes sont formés et inhalent le médicament dans les morceaux d'aluminium chauffés. Il y a foule autour des hommes qui fabriquent des pipes en verre. Un autre homme accroupi redresse sa barbe avec des ciseaux, ignorant le tas d'ordures environnant. Le salon de thé du voyage entoure le groupe avec optimisme. Le transport et la vie normale continuent au-dessus de nos têtes.
"Il y a beaucoup de bonnes personnes ici,se réfère à une foule de toxicomanes et décrit des hommes. Des ingénieurs, des médecins, des gens qui ont étudié Mais ils ont un problème avec la drogue, et ça empire. »
Environ 2 millions d'utilisateurs réguliers
Pul-e-Sukhta Bridge était déjà toxicomane à Kaboul en août 2021, bien avant que les talibans ne reprennent le pouvoir.
La lutte contre le trafic de drogue en Afghanistan est souvent présentée comme un moyen d'empêcher l'héroïne d'inonder notre ville, mais cette drogue et d'autres font également des ravages ici. Selon une enquête de 2015, le pays compte 1,9 à 2,3 millions d'usagers réguliers de drogues pour 39,1 millions d'habitants. Le pourcentage d'opium ou d'usagers d'opium serait le plus élevé au monde.
Actuellement, l'effondrement économique provoqué par la victoire des talibanset le développement du trafic de méthamphétamine ne font qu'exacerber cette situation. Tous les toxicomanes qui vivent sous le pont sont accros à l'héroïne ou aux stimulants. L'histoire est différente pour chaque personne. Beaucoup disent avoir commencé à consommer de la drogue après avoir travaillé enIran.
"Pour la première fois, je me suis senti fort"L'homme explique.
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