La nouvelle réserve du musée à Strasbourg a la particularité d'être au moins partiellement ouverte au public et est aussi un véritable lieu de travail. Un modèle idéal qui devrait être généralisé à l'avenir.
Les réservations sont théoriquement anonymes. Lieu confidentiel utilisé pour entreposer des œuvres qui ne sont pas ouvertes au public. " Nous n'y tiendrons pas de conférence de presse ", plaisante Paul Lang, le directeur du musée. Cependant, un chiffre montre leur rôle stratégique : seuls 10 à 15 % des travaux sont publiés et le reste dort.
Mais les trois missions du musée, Paul Lang, aime à nous le rappeler, conserver, diffuser et étudier. Et le nouveau bâtiment, où arrivent progressivement œuvres, peintures, peluches et statues, est baptisé " Research Conservation Center ". Ce ne sont plus seulement des réservations : " Nous rendons l'installation visible. C'est un outil de travail. »
Suivi de près
Les emplacements sont destinés à être identifiés par le grand public, donc une surveillance est appliquée. Des équipes présentes 24h/24 pour surveiller les entrées et les sorties. Des explications détaillées pour prévenir les intrusions. D'autres dispositifs sont également disponibles. Avec
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