La Ville et l'Eurométropole de Strasbourg ont levé le voile sur nombre d'aspects du projet de tram Nord ces derniers jours. L'heure est à présent à la confrontation avec le public  : une réunion publique est programmée ce mercredi à 19 h au Palais des fêtes pour répondre aux questions se posant dans le cadre de cet aménagement qui devrait transformer l'avenue des Vosges, mais aussi deux grands axes au nord de la capitale alsacienne : la route de Bischwiller et la route du Général-de-Gaulle.

M. PLANTIN (Edition : N. BLANCHARD) -

Les temps forts

Retrouvez ci-dessous les informations essentielles de ce direct.

  • Le précédent du quai des Bateliers

    Alain Jund. Capture d'écran DNA
    Alain Jund. Capture d'écran DNA
    Alain Jund. Capture d'écran DNA

    Alain Jund rappelle qu'il y a quelques années, quai des Bateliers, tout le monde se demandait que deviendraient les 15 000 véhicules qui l'empruntaient chaque jour. « Ce sont des questions qui se sont évanouies une fois l'aménagement réalisé. »

  • Jeanne Barseghian : « Réduire le trafic de transit sur l'avenue des Vosges, c'est un objectif que j'assume »

    Jeanne Barseghian. Capture d'écran DNA
    Jeanne Barseghian. Capture d'écran DNA
    Jeanne Barseghian. Capture d'écran DNA

    Jeanne Barseghian se charge de répondre.  La maire a entendu les critiques. « Il faut dire que nous avons commencé à travailler aux solutions, notamment le plan de circulation. Réduire le trafic de transit sur l'avenue, c'est un objectif que j'assume. Ca ne veut pas dire qu'on va empêcher les gens de vivre. On va reporter ce trafic sur les axes autoroutiers, qui sont faits pour l'accueillir. Ce système de boucles de circulation va changer les habitudes. Elles permettront la desserte pour tous les besoins évoqués: livraisons, artisans, poubelles, rendez-vous médicaux, parents et enfants ».

    « Concernant le positionnement du stationnement, l'objectif est bien de libérer les trottoirs des voitures-ventouses. Pour stocker ces voitures, des études sont en cours pour un parking en ouvrage de plusieurs centaines de places sur le terrain de la Maison du Bâtiment. »

    « Sur la cohabitation piétons-cyclistes, on a énormément de contraintes avenue des Vosges. Le projet devra être validé par la commission Unesco. On a un enjeu de végétalisation de l'avenue. On a un enjeu de déminéralisation pour absorber les eaux de pluie. » Lors des ateliers, il y aura un « vrai travail à mener sur les espaces partagés et la cohabitation piétons-cyclistes ».

  • « Les gens se sont sentis brutalisés, humiliés, mis de côté »

    Que faire des voitures évacuées de l'avenue des Vosges ? Capture d'écran DNA
    Que faire des voitures évacuées de l'avenue des Vosges ? Capture d'écran DNA
    Que faire des voitures évacuées de l'avenue des Vosges ? Capture d'écran DNA

    Un habitant de l'avenue des Vosges, au nom du collectif Pour une avenue des Vosges apaisée, estime que le péché originel du projet est d'avoir abandonné le trajet initial. « Les gens se sont sentis brutalisés, humiliés, mis de côté. »

    « On a  de beaux projets, de beaux dessins, mais rien de concret. On parle de 20 000 voitures avenue des Vosges, où vont-elles aller ? Personne n'est pour la pollution. Mais il y a des gens qui ont le droit de vivre leur ville à leur manière. Beaucoup d'entre nous ont une voiture par besoin. »

  • « On nous impose un tram »

    Dans la salle, pour la partie avenue des Vosges, il y a les pour et les contre. Captrure d'écran DNA
    Dans la salle, pour la partie avenue des Vosges, il y a les pour et les contre. Captrure d'écran DNA
    Dans la salle, pour la partie avenue des Vosges, il y a les pour et les contre. Captrure d'écran DNA

    Jacques Bresson, de Koenigshoffen, du collectif Montramjytiens, s'étonne que « l'on s'écharpe au lieu de se regrouper face aux problèmes que pose notamment le réchauffement climatique. Moi aussi j'ai une voiture, je n'ai pas d'enfant mais vous en avez peut-être. Que fait-on pour eux ? »

    A l'inverse, une habitante, Mme Ach, estime qu' « on impose un tram, de manière unilatérale, sans nous proposer les solutions nous permettant d'amener nos enfants à la crèche ou de décharger nos courses ». « Propriétaire avenue des Vosges, je serais ravie d'avoir moins de circulation, mais ce que vous nous présentez c'est que ceux qui payent leurs impôts ne bénéficient plus de leur avenue. Vous nous imposez d'aller nous garer ailleurs, et on ne sait toujours pas où. » « Il y a des décisions mais sans vraies solutions aux problèmes des gens qui travaillent. »

  • Vincent Debes coincé à l'extérieur de la salle

    On nous signale que Vincent Debes, le maire de Hoenheim, est arrivé à 19h19... et s'est fait « interdire l'entrée », comme beaucoup d'autres retardataires. Vincent Debes est vice-président de l'EMS.

  • Les débats démarrent

    A l'animation, Dan Leclaire, détend l'atmosphère avec une petite vanne avant qu'on passe aux questions. Un membre de l'asso Quartier-Vosges-Neustadt s'inquiète notamment des trottoirs partagés entre cyclistes et piétons aperçus sur les vues d'archi. Il estime que la largeur de 30m permettrait de séparer clairement les flux.

  • La concertation continuera après la réunion publique

    Alain Jund présente la suite de la démarche, au-delà de la réunion publique: ateliers, permanences et réunions vont se poursuivre (lire la brochure à télécharger ci-dessus). « Si certains choses sont actées, comme le tracé, ce qui reste ouvert c'est comment aménager espaces publics, la place des Fêtes, la place de Haguenau, la route de Bischwiller. » « Le stationnement utile, l'évolution des rues proches du tracé, autant d'éléments qui doivent être discutés. »

    A noter, l'atelier en date du 12 avril sera reprogrammé pour ne pas tomber en même temps que Pessah. Les mots de « concertation règlementaire » font râler dans la salle.

  • L'avenue des Vosges, « on ne la voit plus »

    Circulation automobile sur l'avenue des Vosges. Photo archives DNA/Laurent REA
    Circulation automobile sur l'avenue des Vosges. Photo archives DNA/Laurent REA
    Circulation automobile sur l'avenue des Vosges. Photo archives DNA/Laurent REA

    La maire aborde le sujet qui fâche. « L'avenue des Vosges pose aujourd'hui des problèmes et des nuisances. C'est peut-être aujourd'hui une des plus belles avenues du monde... Mais on ne le voit plus. »

    « L'objectif n'est pas d'empêcher la vie, mais de bien y vivre, continue Jeanne Barseghian. Avec de vrais espaces sécurisés sans le bruit et la pollution qui ont de lourdes conséquences dans notre agglomération. » C'est « un patrimoine classé à l'Unesco qu'on va pouvoir redécouvrir ».

    Les pour et les contre y vont de leurs huées et de leurs applaudissements à la fin de l'intervention.

  • Jeanne Barseghian : un projet « pour dessiner le bouclier bioclimatique »

    Les intervenants de la soirée. Capture d'écran DNA
    Les intervenants de la soirée. Capture d'écran DNA
    Les intervenants de la soirée. Capture d'écran DNA

    Jeanne Barseghian va prendre la parole. Elle remercie la salle de sa présence « quelles que soient ses interrogations ». La maire de Strasbourg lance sa partie en évoquant la place de Haguenau, « ce trait d'union entre Schiltigheim et Strasbourg que nous appelons de nos voeux ». « Cette place, c'est cet énorme giratoire, avec des bouchons, des nuisances, des panneaux pas toujours très clairs », « mon objectif c'est qu'en arrivant du nord, cette entrée de ville soit à la hauteur de ce qui fait la renommée et la réputation de Strasbourg en France, en Europe, à l'international ».

    « Ce que nous proposons, c'est une nouvelle étape de la transformation de Strasbourg. Ce parc de Haguenau, de 16 hectares, soit deux fois celui de Contades, y joue en rôle central », poursuit Jeanne Barseghian. « Ce projet dessine la ville de demain. Il permet de dessiner le bouclier bio-climatique. » « C'est un patrimoine naturel que nous reconquérons. Ce parc de Haguenau rayonnera dans tous ses axes, amenant un traitement des autres secteurs pour qu'ils deviennent plus verts, plus fluides. »

    La maire aborde un autre point  : « Ce tram renforce la vocation européenne de notre ville, inscrit dans le contrat triennal, financé par l'Etat, il permet de relier les institutions européennes en 15 minutes ».

  • Plus de piétons pour Schiltigheim

    La maire de Schiltigheim revient sur la partie route du Général de Gaulle. On voit à l'écran le projet  : une voie de tram, une voie auto en sens unique, une bi-directionnelle vélo. Concernant la route de Bischwiller, « très encombrée, avec des trottoirs encombrés, une rue sans un arbre, très minérale », elle verra « une centaine d'arbres plantés, une piste bi-directionnelle. Ce sera une grande artère vivante, le coeur de ville auquel nous aspirons. Une ville où l'on pourra flâner. Un secteur piéton se mérite. Schiltigheim, deuxième commune de l'EMS voire du bas-Rhin, le mérite. Voilà notre ambition. » Danielle Dambach a droit à des applaudissements nourris.

  • Danielle Dambach : « Un tram, c'est 240 personnes. 240 voitures en moins »

    Danielle Dambach. Capture d'écran DNA
    Danielle Dambach. Capture d'écran DNA
    Danielle Dambach. Capture d'écran DNA

    La maire de Schiltigheim, Danielle Dambach, est la première à s'exprimer. Elle rappelle que Schiltigheim, qui va gagner encore 3 500 habitants d'ici la fin du mandat, souffre de son encombrement et de la pollution. « Tous les jours les habitants, notamment les piétons, me saisissent de leurs difficultés. » Elle attend beaucoup du tram Nord pour répondre à leurs demandes.

    « Le trafic de transit se déverse sur Schilick et la place de Haguenau, qui n'est aujourd'hui qu'un no man's land. » La maire de Schiltigheim continue  : le tram nord ce n'est pas seulement un « projet de transports en commun. Un tram, c'est 240 personnes. 240 voitures en moins, c'est de la place en plus et un moyen de se réapproprier la ville. » « Le tram Nord, c'est aussi de nouveaux quartiers desservis, comme le site Istra et ses 450 logements. »

  • Jean-Louis Hoerlé inquiet pour le technicentre de Bischheim

    Le maire de Bischheim Jean-Louis Hoerlé. Photo archives DNA Schiltigheim le 7 juillet 2022. Photo DNA/Franck KOBI
    Le maire de Bischheim Jean-Louis Hoerlé. Photo archives DNA Schiltigheim le 7 juillet 2022. Photo DNA/Franck KOBI
    Le maire de Bischheim Jean-Louis Hoerlé. Photo archives DNA Schiltigheim le 7 juillet 2022. Photo DNA/Franck KOBI

    Jean-Louis Hoerlé, maire de Bischheim, monte à la tribune. Sur le plan de déplacement, l'élu estime « indispensable » d'avoir un « vrai plan de circulation » présentant les itinéraires alternatifs. « Je ne me contente pas de petites fléchettes sur des plans. » Il reçoit un tonnerre d'applaudissements.

    « Développer le vélo, je suis d'accord, poursuit le maire de Bischheim. Mais sur les plans montrés, expliquez-moi comment on place des pistes sur un axe aussi étroit qu'avenue de Périgueux, rue de la Robertsau. Comment faire? Nous avons avenue de Périgueux 1200 salariés, le technicentre de Bischheim, 1200 camions par jour. Les camions les plus élevés passent route de Bischwiller, avenue de Périgueux. La SNCF investit 50 millions sur le site. Je suis inquiet pour l'accessibilité du site. »

    « Si on améliorait rapidement le bus 6, ce serait un début de réponse. »

    Danielle Dambach et Jeanne Barseghian arrivent à la tribune. Les applaudissements le disputent aux huées.

  • Terrasses sur l'avenue des Vosges : huées et applaudissements

    La modélisation du trafic telle que l'induit le projet de tram Nord. Capture d'écran DNA
    La modélisation du trafic telle que l'induit le projet de tram Nord. Capture d'écran DNA
    La modélisation du trafic telle que l'induit le projet de tram Nord. Capture d'écran DNA

    On passe à la partie strasbourgeoise avec l'évocation du plan Conrath de la Neustadt, datant de 1880.

    Comme pour la partie nord, le réseau cyclable devrait être étendu, notamment sur les axes identifiés aujourd'hui comme les plus problématiques pour les cyclistes. Samuel Maillot lance l'info  : « Aujourd'hui, l'avenue des Vosges sert à des échanges entre la Neustadt et l'extérieur. Ces flux seront redistribués via des boucles et via le renforcement du rôle de la M2350. »

    Pour conclure, d'après les modélisations réalisées pour voir comment le trafic se reporterait, le trafic devrait augmenter sur la M35 et la 2x2 voies qui va au Wacken. « Mais moins que les diminutions attendues avec le report modal. »

    « Sur la partie avenue des Vosges, avance Alfred Peter, l'objectif est de retrouver un équilibre entre les fonctions de l'artère: circulation, livraison, marche etc. » « Sur l'emprise existante de 30m de large, on garderait 13m pour les modes actifs. »

    La vue d'une partie centrale avec les terrasses provoque applaudissements et huées à parts égales. « On va simplifier la vie des habitants », se défend Alfred Peter. Dan Leclaire appelle la salle à « plus de courtoisie ».

  • Au Nord, deux nouvelles connexions à la M35

    De nouvelles connexions à la M35 sont projetées au nord. Capture d'écran DNA
    De nouvelles connexions à la M35 sont projetées au nord. Capture d'écran DNA
    De nouvelles connexions à la M35 sont projetées au nord. Capture d'écran DNA

    On attaque la partie nord du projet. La déviation de la ligne 3 permettra une piétonisation partielle de la route de Bischwiller. C'est Samuel Maillot qui détaille le projet.

    Deux nouvelles connexion à la M35, une à Hoenheim, l'autre à Schiltigheim,  seront également mises en place pour que les voitures libèrent la place.

    Route du Général-de-Gaulle, dans sa section la plus étroite une voie tram, une piste cyclable et une voie auto devront cohabiter, précise Alfred Peter, qui prend le relais. Route de Bischwiller, il évoque « une des transformations les plus spectaculaires », qui permettra de « recréer de la centralité ». L'aménagement devrait permettre de créer cette artère emblématique dont Schiltigheim a besoin

  • Une vision pour la place de Haguenau

    Alfred Peter revient sur le coeur du projet, le parc de Haguenau. Le tram va induire une transformation du giratoire qui tient lieu de place aujourd'hui. A l'écran défilent des images du futur parc. Retrouvez notre article sur le sujet pour le détail.

  • Alfred Peter débute son intervention. Le paysagiste-urbaniste fait partie du groupement de maîtrise d'oeuvre. Les vues du projet, c'est lui (et son équipe). Il cède rapidement la parole à Samuel Maillot, ingénieur transport. Ce dernier rappelle notamment que l'usage de la voiture pour entrer à l'heure de pointe dans Strasbourg est minoritaire. L'objectif en 2027 étant de développer encore les transports en commun pour que la part de la voiture passe de 40 à 30% dans ces trajets entrants du matin.

  • Du public attend à l'extérieur, pas d'entrée possible

    Première interruption pour demander si les personnes à l'extérieur pourraient rentrer. La sécurité visiblement s'y oppose

  • « Si nous voulons développer les transports en commun, il faut développer le réseau au nord et avenue des Vosges »

    La réunion est ouverte par Alain Jund. Capture d'écran DNA
    La réunion est ouverte par Alain Jund. Capture d'écran DNA
    La réunion est ouverte par Alain Jund. Capture d'écran DNA

    Alain Jund continue son exposé. « L'articulation du réseau tram au REME, en dépit de son démarrage difficile, au réseau de cars interurbains, au maillage cyclable, est capital », estime-t-il. « Ce tram nord va permettre la création de 1 à 10 km de réseau cyclable et développer l'ossature vélo sur le secteur »

    L'élu rappelle que ces 20 dernières années, le nombre de voitures est passé de 185 000 à 120 000 par jour en dépit d'une augmentation de 25% des personnes entrant dans Strasbourg pour y travailler/faire des achats... Et pour lui, « Si nous voulons développer les transports en commun, il faut développer le réseau au nord et avenue des Vosges. On ne peut plus mettre un tram en plus place de l'Homme-de-Fer ».

    Il tente enfin de désamorcer les attaques (prévisibles) du projet  :  « Personne aujourd'hui ne remet en cause le tram, le réseau existant, alors que les échanges au moment de sa création étaient autrement plus tendus ». « Pour venir à la réunion de ce soir, je suis venu à pied. La situation doit évoluer, doit changer. L'état actuel n'est pas agréable, ne prépare pas l'avenir. Il faut retrouver l'envie de ville, l'envie de vivre ensemble. » « C'est l'ensemble de ces éléments qui font la nécessité de ce projet. »

  • Les enjeux de la transformation

    Alain Jund revient sur la révolution des mobilités engagée depuis 2020 par l'exécutif métropolitain. « Ce n'est pas le projet d'une rue, d'une avenue d'une place, mais celui de la métropole. Et il s'agit notamment de lutter contre la pollution. Nous sommes dans un des secteurs les plus pollués de l'agglomération. » Il poursuit  : «  Le deuxième enjeu, c'est le pouvoir d'achat et la capacité de chacun de se déplacer. Les transports en commun restent le moyen le plus économe de se déplacer. » « Le troisième enjeu, c'est celui de la mobilité pour tous. Y compris pour ceux qui ont une voiture. La voiture a aussi sa place dans la ville, mais une place dans la ville, pas toute la place. »

  • Forte affluence

    La maire de Strasbourg est dans la salle, aux côtés du élus du nord. Photo DNA - Laurent REA
    La maire de Strasbourg est dans la salle, aux côtés du élus du nord. Photo DNA - Laurent REA
    La maire de Strasbourg est dans la salle, aux côtés du élus du nord. Photo DNA - Laurent REA

    La salle est archi-pleine, constate notre journaliste sur place. Les 500 personnes attendues par le cabinet de la maire sont déjà dépassées et on continue de s'installer.

    Alain Jund, vice-président de l'EMS en charge des mobilités, est le seul élu à la tribune pour commencer. Alfred Peter, paysagiste-urbaniste, du groupement chargé de maitrise d'oeuvre, est aussi de la partie. Alain Jund prend la parole, excuse Pia Imbs, qu'il représente.

  • La réunion va commencer

    Beaucoup de monde dans la salle. Photo DNA - Laurent REA
    Beaucoup de monde dans la salle. Photo DNA - Laurent REA
    Beaucoup de monde dans la salle. Photo DNA - Laurent REA

    Bonjour et bienvenue dans ce direct. La réunion doit démarrer dans quelques instants. Sont annoncés Alain Jund, vice-président de l’Eurométropole de Strasbourg en charge des mobilités, Jeanne Barseghian, maire de Strasbourg et vice-présidente en charge des relations transfrontalières, européennes et internationales, Danielle Dambach, maire de Schiltigheim et vice-présidente en charge de la coordination de la transition écologique et de la planification urbaine et nature, et Jean-Louis Hoerlé, maire de Bischheim, ainsi que de l’équipe de maîtrise d’œuvre de l’Eurométropole de Strasbourg (GETAS/PETER).

    La réunion doit durer deux heures, jusqu'à 21h.