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Héritage du Dalaï Lama, la Chine joue la montre

"Je n'ai plus rien à attendre du représentant du Dalaï Lama en exil. Ils ne veulent rien entendre pour trouver un bon successeur.",IsLa Croix Il y a 10 ans à Pékin, un diplomate chinois de haut rang. Il a continué à tweeter avec confiance."De toute façon, le temps est de notre côté, le Dalaï Lama est vieux, nous attendons sa mort, alors nous choisissons le prochain Dalaï Lama qui nous convient."

Pendant son asile à Inde depuis 1959, 10 millions de chefs spirituels tibétains ont fêté mercredi 6 juillet son 87e anniversaire. Mais son pari de succession dangereux jusqu'à présent.

A Pékin, "en attendant qu'il meure"

"Les autorités chinoises et le dalaï-lama" Il n'y a plus eu de négociations avec le représentant tibétain depuis des années, confirme Pierre-Antoine Donette (1), ancien journaliste basé à Pékin et expert en histoire tibétaine. Et depuis que Xi Jinping a Au pouvoir depuis 2012, l'approche politique de Pékin est relativement simple. Nous attendons qu'il meure.

Chaque année, à l'approche de son anniversaire, il n'en demeure pas moins que le 14e dalaï-lama et lauréat du prix Nobel de la paix 1989 Tenzin Gazzo continue de cacher ses pas. .. Il lui assure qu'il est en pleine forme, et que son médecin lui a dit qu'il"vivra jusqu'à 113 ans" !Une façon humoristique coutumière de contrecarrer le programme machiavélique des officiels chinois qui tentent de remplacer le libre choix du Dalaï Lama.

Éviter le scénario tragique du Panchen Lama

Ainsi, en 2014, il a soulevé la possibilité de mettre fin au cycle de renaissance et de mettre fin à la lignée duDalaï Lama. Cette annonce est le Tibet non seulement au Tibet mais aussi dans le monde. Elle a surpris la communauté humaine, mais visait clairement à éviter le scénario tragique de la succession du Panchen Lama, le deuxième plus haut chef spirituel du bouddhisme tibétain, décédé en 1989.

Le 17 mai 1995, à la suite de cérémonies bouddhistes ancestrales, le Dalaï Lama a nommé un jeune garçon, Gedunchekinima, comme réincarnation du Panchen Lama. Trois jours plus tard, un pasteur nomade qui avait six ans à l'époque. Ce fils a été enlevé par le Parti communiste chinois et il n'a plus été en contact depuis. Pékin a nommé son propre Panchen Lama, Gankain Norbu. Formé par des tuteurs tibétains et chinois. Norbu est membre du conseil consultatif du Parlement chinois, une organisation symbolique sans véritable pouvoir.

La Chine condamne de plus en plus le Tibet

Tibet,explique la chercheuse chinoise Marie Holtzmann, présidente de la Solidarite Chain Society. La destruction de la culture tibétaine en Chine vise à éradiquer les identités des gens. Et les enfants tibétains qui ont été éduqués aujourd'hui dans un internat loin de leurs parents ne savent même pas que le Dalaï Lama existe."

Dans ce contexte, le Dalaï Lama cherche la meilleure solution possible."Si les questions tibétaines ne sont pas encore résolues, il a annoncé que sa renaissance verrait le jour hors de Chine",est un asile-tibétain bouddhiste Dorma interrogé par un site asiatique.・ Soulignez le zeling. Selon elle,"S'il y avait deux enfants reconnus comme Dalaï Lama, les Tibétains et la communauté internationale n'accepteraient pas l'enfant choisi par Pékin, qui est le PCC (Parti communiste chinois). Ce n'est qu'une poupée sous le commandement deEt pour Marie Holtzmann, il pourrait y avoir un"soulèvement du désespoir au Tibet".

"Aujourd'hui, le Dalaï Lama semble avoir déjà achevé son héritage... de son vivant,"est Pierre-Antoine Donette. Le mystère du monde bouddhique.Dans le passé, le Dalaï Lama n'a pas nié qu'il s'agissait d'une femme.