TVlance une émission courte qui rigole et prolonge la note... en faisant fi de certains fantasmes et approximations.
Comme un enfant, M6, 20h30
Laissez-vous surprendre par le lancement deux jours plus tard Il y a de belles vacances d'une série se déroulant dans une école... Entre fantasme, exagération et approximation, la série refrainComme des gosses, c'est les professeurs, agents et parents d'élèves de Paul-Pédrault. Ecole élémentaire, heureusement fictive.
Les croquis que nous avons pu voir sont inégaux et la vision de l'école ne correspond pas vraiment à ce que les parents attendent. Le réalisateur Jean Eve Bresson (Julien Pestel) est misogyne, trompeur et hors échelle. Cela éloigne un peu la caricature. Surtout si la série pense avoir le pouvoir de licencier le personnel d'entretien et les enseignants. A moins que l'auteur ne veuille prédire la généralisation de "l'école du futur" à la manière de Blanker Macron...
"Des méthodes pédagogiques un peu dépassées"
Trois professeurs des écoles L'équipe qui complète le "éducation". Jacky (Doully) est une fêtarde passionnée, paresseuse et alcoolique. Darius (Alexandre Brazy), un enseignant fatigué qui essaie de préparer les enfants au "monde réel" - encore une fois, nous pouvons voir des critiques sur les dérives scolaires qui transforment les enfants trop tôt. Seule Lucy (Antonia de Lendinger), présentée comme "une maîtresse à la pédagogie un peu dépassée", semble en mesure de faire fonctionner l'institution. Gabriel (Patrick de Vallet), femme de ménage et deux assistantes scolaires, Zoé et Fatou, se battent pour le prix de la paresse...
Le ton est plus juste quand il s'agit de relations avec les enfants. Croquis drôle. Comme des gosseest basé sur la série hollandaiseDeLuizenmoeder. Je ne sais pas ce qu'est l'original, mais la copie n'est pas équivalente à la production Calt précédente, deCafeCameraàHouseholdScenesàKaamelott.
