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Si sa silhouette s'est épaissie et que ses cheveux ne sont plus aussi flamboyants, Robert Smith, 64 ans est doté d'un charisme aussi extraordinaire qu'inusable.
Si sa silhouette s'est épaissie et que ses cheveux ne sont plus aussi flamboyants, Robert Smith, 64 ans est doté d'un charisme aussi extraordinaire qu'inusable.
Si sa silhouette s'est épaissie et que ses cheveux ne sont plus aussi flamboyants, Robert Smith, 64 ans est doté d'un charisme aussi extraordinaire qu'inusable. Christophe Meng/Abaca

Dernière étape d'une petite tournée française, la soirée proposée par le groupe de Robert Smith a tourné au triomphe lundi.

Il est des rituels dont on ne se lasse jamais. Aller écouter The Cure à l'Accor Arena de Bercy en fait partie. Depuis 1985, la formation de Robert Smith s'y est produite à neuf reprises. Trois ans après une prestation donnée en plein air dans le cadre du festival Rock en Seine, The Cure a assuré la dernière étape d'une petite tournée française dans une salle pleine à craquer. Dans la sono, des sons de pluie et d'orage. Bientôt, sur scène, les musiciens et leur leader, qui déambule de cour à jardin avec sa démarche caractéristique. Si sa silhouette s'est épaissie avec les ans (il a 64 ans) et que ses cheveux ne sont plus aussi flamboyants qu'auparavant, Smith est doté d'un charisme aussi extraordinaire qu'inusable.

Alors que le groupe n'a pas sorti de nouvel album depuis 2008, la soirée commence par une nouvelle chanson, This is the End, puissamment mélancolique et alanguie, bien dans la manière de son auteur. «C'est agréable d'être de retour ici», commente ensuite Smith, à son aise sur scène…

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Le Figaro

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