Dans son premier long métrage, qui établit la norme pour ce genre, Rob Javaz du Canada sème et dévaste. des effets du virus L'agitation dans les villes de Taiwan.
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" Opinion MONDIALE " -Pourquoi
Les fans de " Gore Dirty " peuvent se voir offrir le film de zombiesThe Sadness,il y en a. Son parcours dans des festivals proches du Grand Chelem (Locarno, Geraldmar, Fantasia, Restaurant The Festival, etc.) a été salué comme un compliment pour faire exploser les standards de la violence graphique à l'écran. Tourné dans une brèche ouverte par la pandémie de Covid-19, ce premier long métrage d'origine taïwanaise est l'œuvre du Canadien de longue date Rob Javaz, qui était auparavant actif principalement dans le domaine de la publicité.
Un matin à Taipei, les jeunes couples Kat (Regina Lei) et Jim (Berant Zhu) se réveillent et s'embrouillent avant de se mettre tous au travail. Après une pandémie d'un an, tout le monde dans la ville a été vigilant, plus vigilant pour le virus auparavant relativement bénin et ses dernières mutations, et l'impact est encore inconnu. Certains chuchotements, notamment de scientifiques de la télévision, seraient comparables à ceux de la rage.
Deux grosses poupées
Soyez témoin d'une scène d'une salle de sport dans un café, d'un chat dans le métro et d'une attaque inutile : pourquoi les gens se jettent l'un sur l'autre Au lieu de cela, ils se poignardent les uns les autres et se dévorent. Les fanatiques reconnus par leurs symptômes fébriles prolifèrent. La violence se produit à grande échelle jusqu'à ce qu'elle gagne la société dans son ensemble et provoque des troubles dans les rues. Jim s'échappe sur un scooter à la périphérie de la capitale, mais Cat trouve un abri à l'hôpital, mais on ne sait toujours pas s'ils peuvent se revoir.
La virilité dominante et les mauvais esprits continuent sur la fine ligne qui les sépare de l'injustice et de l'opportunisme
Sila tristessevaut quelque chose. C'est à cause de l'explosion de ces violences féroces que provoquent des scènes obscènes, électrisées par les caméras enthousiastes et curieuses de Javaz. Attaques au sécateur et à la scie électrique, emmacuration au fil de fer barbelé, membres coupés, orgie de zombies, tout arrive, et des hectolitres d'hémoglobine sont déversés. Ce film demande un délice intense pour blasphémer le corps humain et l'exposer à la pénétration des yeux (première !), surtout à toutes sortes de colères, y compris gratinées. Pendant ce temps, il n'y a pas de partie importante de la merveilleuse poupée pour la deuxième fois, se tournant même parfois vers le buffle candide (le président de la République qui se fait sauter la tête avec une grenade lors d'une allocution télévisée). Les surenchères et les mauvais esprits qui dominent dans ces lieux oscillent le long des fines lignes qui les séparent de l'obscénité inutile (bébés étouffés dans la poubelle) et de l'opportunisme.
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