Dylan Groenewegen a remporté au sprint la troisième étape du Tour de France.
Dylan Groenewegen a remporté au sprint la troisième étape du Tour de France.
Dylan Groenewegen a remporté le sprint de la troisième étape du Tour de France.GONZALOFUENTES / REUTERS

"La route est longue", a déclaré le Néerlandais Dylan Gronewegen, après avoir remporté un sprint sur la troisième étape du Tour de France à Sonderborg dimanche. J'ai avoué devant mon père chaleureusement reconnaissant. ..Je tiens à remercier mon équipe, ma famille et mes amis de m'avoir ramené à la tournée en bon état. Ce n'était pas difficile physiquement, mais mentalement, bien sûr, c'était", a déclaré le Néerlandais. Suspension de carrière (9 mois de suspension) en raison de son implication dans le grave effondrement de Fabio Jakobsen en 2020.

"C'était un peu plus compliqué que prévu", a expliqué Groenewegen. De sa victoire danoise. les dents. "J'ai été pris dans une chute à 9km de l'arrivée, mes coéquipiers m'ont remis en bonne position, puis j'ai été piégé. Heureusement, je le sais bien car nous étions coéquipiers avant. Amund (Grondhal Jansen)tout est sorti. Il a sprinté jusqu'au dernier virage donc j'étais dans une très bonne position. Il m'a très bien pris. Mais je me sentais fatigué dans les jambes. Heureusement, j'avais assez de puissance pour lancer la moto sur la ligne."

" Si vous ne savez pas si vous avez gagné, faites comme si vous aviez gagné "

"Hier(samedi),J'étais très déçu J'ai commis beaucoup d'erreurs et moi-même j'étais un peu fâché contre moi-même", a ajouté samedi le huitième coureur de Bike Exchange à Niborg. "Mais l'équipe a tout fait pour me récupérer. Elle m'a renouvelé sa confiance." Au sprint, "Wout (van Aert) { C'est arrivé beaucoup plus vite que 43} , mais c'était unserré », a-t-il ajouté. "Wout m'a demandé si j'étais sûr d'avoir gagné. Parmi nous, en 2019, c'était une blague récurrente. Il m'a dit ," je ne sais pas si j'ai gagné. Si oui, comportez-vous comme si vous aviez gagné. " Mais quand j'ai entendu le directeur sportif dans la voiture, j'étais confiant."

"Puis j'ai vu mon père me suivre pendant les trois semaines du Tour de France. Je ne le vois pas d'habitude, mais heureusement il était là avant. Nous étions toujours proches et il me suivait beaucoup quand je m'entraînais. C'était génial de partager cette victoire avec lui.»

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