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Une enseignante birmane a échangé de la craie contre une arme à feu

Pendant la guerre.

En Birmanie, de nombreux jeunes médecins et professeurs ont rejoint l'armée du gouvernement d'unité nationale et ont combattu la junte. C'est le cas de SweLay, 29 ans, institutrice suivie par "Myanmar Now".

Swe Lay, institutrice devenue soldate en Birmanie.
Swe Lay, enseignant en Birmanie, soldat est devenu.Myanmar Now

Avec un visage sérieux, les cheveux attachés en queue de cheval, une femme au milieu du groupe d'un homme de champ de tir debout. Elle a une expression de la détermination du soldat en cours de création. Mais quand elle ne pratique pas le tir, ses impressions sont très différentes. Parlant poliment et doucement, elle redevient institutrice.

Jusqu'à l'année dernière, SweLay enseignait dans une école primaire de l'État de Chin [nord-ouest du Myanmar]. Elle est actuellement l'administratrice des Yo People's Defence Forces (PDF) [une unité de forces de résistance 2021] créée par ceux qui résistent au coup d'État du 1er février dans la région de Magway.

Refusant de travailler dans une dictature militaire

Originaire du district de Gangaw de la région de Magway, où vivent quelques Yos, elle a enseigné pendant huit ans dans une école de village. Colline du pays du menton. Elle aimait tellement son travail qu'elle n'hésitait pas à être nommée loin de sa ville natale.

Mais quand l'armée a repris le pouvoir le 1er février 2021 [fin de la décennie de démocratisation], elle était un mouvement de désobéissance civile (45}  . J'ai arrêté de travailler pour rejoindre les rangs de MDP). Comme des milliers d'autres fonctionnaires à travers le pays.

 Comme beaucoup d'autres enseignants qui ont participé pour la première fois au mouvement, elle n'a pas supporté les mensonges avancés par la junte pour justifier le coup d'État. Jeune re

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Source de l'article

Myanmar Now( Rangoon)

Créé en 2015, ce site d'information birman et anglais publie des reportages, des analyses et des commentaires sur le processus de réforme en cours dans le pays. Certains des journalistes birmans qui l'alimentent travaillent depuis un certain temps à l'étranger. Il est très ouvert et soutenu par la Fondation Thomson Reuters dans le but de contribuer à la multiplicité des médias . 

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