France
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Notre système de santé s'effondre et la seule réponse du gouvernement est l'effondrement des services publics en acceptant la fermeture des services d'urgence dès la nuit prochaine. Est à vérifier. Les recommandations médicales sont simples. Pour assurer la sécurité des habitants, tous les citoyens doivent se trouver à moins de 30 minutes des services d'urgence, qui sont ouverts 24 heures sur 24 heures par jour toute l'année.

L'adversité libérale qui nous gouverne s'est délibérément organisée avec l'aide de certains médecins devenus leurs boulets politiques pour maintenir leurs intérêts catégoriques et leur statut de pouvoir, provoquant ainsi la détérioration du système de santé. Une pénurie de spécialistes, notamment de médecins, et des hôpitaux défavorisés pour fermer des lits et des établissements. Le but, soigneusement caché et nié, est de conduire à une situation où l'alternative évidente devient le secteur privé face à la qualité diminuée des services publics... pour ceux qui peuvent se le permettre. Le scandale Orpea a franchement révélé qu'il n'y a aucune restriction à la prédation du système par des vautours qui ne respectent plus les valeurs humaines. Le scandale

viendra s'ajouter à ce scandale. A l'exception de la promesse d'inspection de tous les EHPAD l'année prochaine, il n'y a pas de réponse politique, mais le ministre de la Santé est bien conscient que ce n'est pas possible. L'agence de santé communautaire qui en a la charge ne dispose pas d'un personnel suffisant en quantité et en qualité pour remplir cette mission. En effet, ces agences sont le résultat du démantèlement des anciennes régies départementales et régionales (Ddass et Drags) qui étaient chargées du système de santé, perdant du personnel qualifié et leur mission est encore insuffisante. J'ai voté la loi de financement de la sécurité sociale donc pour ne pas dépasser le budget. Cette réduction a été commandée par un cabinet de conseil pour gérer la crise du Covid, lourdement payé depuis des années pour organiser des "restructurations" hospitalières dans le seul but de supprimer des lits.

Par défaut, le président élu n'est plus libre d'utiliser le parlement exagéré, mais il est une priorité nationale pour promulguer la législation suivante : Il est urgent de retrouver la fonction politique de discuter. Répondre aux besoins exprimés. Dès lors, si le pouvoir d'achat fait partie de ces priorités, l'avenir de notre système de santé et de protection sociale est différent. Nous appelons à une discussion urgente au Congrès sur les deux options. Un système médical avec un secteur marchand financé par des services publics minimaux pour les plus démunis et une assurance privée pour le reste de la population, ou des services publics pour tous les besoins (ville, hôpital, société médicale, santé publique et prévention), entièrement financés par des Sécurité.