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Vaccination contre la variole du singe : peur de la stigmatisation à Nantes

rapports réservés aux abonnés. Chez les homosexuels principalement ciblés par la vaccination contre la variole du singe, la maladie ravive les craintes de discrimination.

Dans une annexe du CHU de Nantes. Les creneaux de vaccination contre la variole du singe sont pris d'assaut partout en France.
Annexe du CHU de Nantes. Les quotas de vaccination contre le monkeypox sont pris d'assaut dans toute la France. © Charles Guyard
Correspondant de Nantes,Charles Guyard
Publié le 9 août 2022 à 14h

DLes visiteurs sont avertis par un panneau au premier étage de cette annexe du CHU de Nantes. Immunisation – 3e étage.  » Dans l'ascenseur, une autre affiche renseigne sur les différents modes de transmission et les symptômes du monkeypox, nous avons à peine le temps de lire les premières lignes lorsque les portes s'ouvrent pour Patrick Blanco, le médecin en charge de cette campagne, lancée le 13 juillet en Loire-Atlantique. Depuis lors, plus de 300 doses ont été administrées. Cela correspond à une population ciblede(plus de 4 000 rien qu'à Nantes, 18 000 dans les Pays de la Loire et 250 000 en France), faible en comparaison. , plus de , 52 000 doses ont été distribuées dans tout le pays au 4 août). Abonnés uniquement

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