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Vénissieux : 1 mort, 1 blessé grave après des tirs de la police

Vénissieux : un mort et un blessé grave après des tirs de policiers Vernis. Dans la nuit du 18 août , des policiers ouvrent le feu à Vénissieux (Rhône) après avoir refusé de passer un contrôle technique. Une personne a été tuée et grièvement blessée dans la fusillade. Deux enquêtes ont été ouvertes, dont une auprès de l'IGPN.

[Mise à jour 2022-08-19 12:04 PM] 1 homme décédé, hospitalisé Un autre homme vivant dans des conditions menaçant la vie s'est produit après que la police a ouvert le feu. L'altercation a eu lieu entre minuit jeudi et vendredi sur un parking d'un centre commercial de Vénissieux, dans le Rhône. Selon le récit factuel, c'est le contrôle d'un véhicule suspecté et signalé volé qui a échoué. Lors d'une patrouille, un groupe de quatre policiers de la Brigade spéciale de campagne (BST) repère une voiture à l'arrêt mais moteur en marche, une Renault Mégane, et contrôle les deux occupants qui ont refusé d'obtempérer.

À l'approche des policiers, le conducteur a commencé à reculer avant de se précipiter vers eux et de prendre la route, selon le récit de la police. L'officier a été projeté sur le capot, puis est tombé au sol et l'un de ses collègues a ouvert le feu sur le véhicule, mettant fin à la course à 100 mètres de là. Selon les informations de Progrela fusillade a eu lieu après une tentative infructueuse de sécuriser le véhicule avec une herse portable. Une balle de la police a atteint le conducteur de 26 ans à la tête, le blessant. L'homme, qui a été transporté à l'hôpital, a été qualifié de "mort cérébrale", selon les journaux locaux. Quant au passager atteint par balle, il a été blessé malgré l'intervention rapide des secours. L'un des policiers a été transporté à l'hôpital avec une légère blessure à la jambe. 

L'IGPN ouvre une enquête

Le parquet de Lyon a annoncé vendredi 19 août l'ouverture de deux enquêtes de police. La première « dissimulation des vols, refus aggravés d'obtempérer et violences armées contre les forces de l'ordre » a été confiée à la Direction de la sécurité publique (DDSP). Une deuxième enquête est menée par l'inspecteur général de la police nationale (IGPN), qui a déclaré que le suspect était "mort sans intention de lui donner un pouvoir officiel, à la suite d'une agression armée par une personne détenant un pouvoir officiel". Une décision de suivre les procédures prévues chaque fois qu'un agent des forces de l'ordre utilise une arme. Les deux agents qui ont ouvert le feu sont actuellement en garde à vue.

Quelques heures après l'ouverture de l'IGPN, le vendredi 19 août, Gérard Dalmanin a déclaré entre deux déplacements en Corse : "La police devra répondre de l'usage des armes, ce qui est normal. C'est tout", a-t-il déclaré. . Enquête sur les fusillades des forces de l'ordre à Vénissieux. Bien qu'il ait refusé de commenter l'incident, le ministre a rappelé son soutien à tous les gendarmes et policiers français.

Victimes connues de la police.31}

Les deux occupants du véhicule sont connus de la police, mais aucun casier judiciaire n'a été identifié. Le conducteur de la voiture, âgé de 26 ans, est gravement blessé à la tête et risque de perdre la vie. Un passager dans la vingtaine est décédé. Il est décédé des suites de ses blessures malgré un massage cardiaque par les ambulanciers.

L'identité des deux occupants du véhicule n'a pas été divulguée dans les médias, mais selon une députée insoumise du 14e arrondissement du Rhône interrogée parLe Progres, Idille Boomerty a déclaré : Les deux personnes dans la voiture ne sont pas de Vénissieux."