Anthony Jelonch
Anthony Jelonch
Anthony Jelonch Norbert Scanella / PANORAMIC

Le troisième-ligne du Stade Toulousain, qui vient d'enchaîner 16 titularisations sous le maillot bleu, s'est confié au Figaro alors que le XV de France remet en jeu son titre dans le Tournoi des six nations, à partir de dimanche (16 heures), à Rome. Anthony Jelonch a parlé combat et défense. Et ça secoue. Extrait.

Le plaquage, c'est l'occasion de marquer son territoire ?
C'est exactement ça. Quand on sent qu'on a bien engagé l'épaule, qu'il y a eu un gros impact et que l'adversaire a marqué le coup, après le plaquage, on le regarde dans les yeux. Tu vois alors dans son regard si tu as bien plaqué ou pas. Tu le sais à l'oreille, aussi. Si tu entends un petit bruit sourd, c'est que le choc a été fort. Enfin, il y a la réaction du stade. Si tu entends un grondement des supporteurs, c'est que tu as réussi un gros plaquage. Ça motive, ça…

Lors d'une séquence défensive où il faut enchaîner les plaquages, vous ne pensez plus à rien d'autre ?
Quand l'équipe adverse se rapproche de notre ligne d'en-but, ça devient automatique, oui. Tout le monde défend la ligne et ça déconnecte un peu dans la tête. On n'a tous alors plus qu'une idée, un objectif: plaquer fort, ne pas commettre de faute et récupérer le ballon.

La douleur des chocs s'oublie-t-elle ?
Les chocs ne font pas tous mal. D'ailleurs, quand tu réussis un gros plaquage sans douleur, tu as encore plus envie de recommencer encore et encore…

Un entretien exclusif à retrouver en intégralité ici.

La rédaction vous conseille

XV de France - Anthony Jelonch au Figaro : «Les chocs ne font pas tous mal»

S'ABONNERS'abonner