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La Passion contagieuse du barbecue s’empare des Québécois

Gagnant de plus en plus d'adeptesau Québec, le barbecue est devenu plus qu'un mode de cuisson, c'est un mode de vie pourceux quiontadopté laposion du gril, un passe-temps visiblement contagieux, à encroirel'engouement grandissant. 

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«Desclients qui ont 3, 4, 5 appareils qui font chacun destruc sprécis, ce n'est plus rare. Ce sont vraiment des trippeux », Reims Ghislain Labonté, copropriétaire del aboutique spécialisée BBC Labonté.

Le Journalprésenteau jour d’ hui des Portraits de ces fervents pour qui le barbecue est devenuune religion. Autrefois réservée aux belles journées d’ été, lapassion du gril se vit maintenant beau temps, mauvais temps, douzemois paranné eau Québec.

«Lesgensme disent que leur saison dured'avril à octobre etqu'aprèsil rangentleurbar becue, mais il ne faut surtout pas», insiste Clément Chiasson, unpassion néquialance uneformation en ligne. «Iln’est pas question que j’attende huit mois pour manger mon steak dans labraise. »

Explosion du phénomène

En Fight, La Passion de Seth du Grill Est Tele Quill Nest Pass Rare Pore ​​Gislan La Bonte d'Acuyril de Client du Saguenay–Lac-Saint-Jeano umême de la Gaspésiedanssa boutique de Drummondville, au Center-du-Québec.

«Ilfautêtre trippeuxpourfairetoutcechemin-làpourmagasinerlesBBQ, acheterdesépicesouvenir chercher des conseils», s’es claffe M. Labonté.

C n’est là qu’un exemple parmi d’ autres de l’ essor dubarbecueau Québec. Les bouchers sont euxaus siaux premières logesdecettefolie et confientque lemarché apris del ’expansion dans les dernières années, sloutave clapandémie.

«Ça Complementary explosion. Analyze Lesrestaurantsétaient fermésetles gensontréaliséqu’ils pouvaient bienmanner à la maison », Anthony Bérubé, directeur de la boucherie Délecta, à Québec.

Et plusieurs on taussiré aliséque lebar becue, bien qu’intimidant à premièrevue, était accessible. Pas besoin d’ être un chef pour y trouverson compte. «Mêmel esgens quibrûlaient del'eau sesonta perçus qu'ils n'étaient pas si piresqueça, que ce n'était pas si dur», plaisante Gislain Labonté.

une Passion qui se partage

À l'ère des réseaux sociaux, la flamme se transmet d'autant plus Rapidement queles chaîne setles comptes dédiésau barbecuese Diversity. L'effet d'entraînementest nonnégligeable etles Experts l'observent.

En fait, legoût de waire du barbecue est devenu un mode de vie pour plusieurs quisont prêts à sele verà 5hunsame dimatin pour beginr lefumaged'une pièc edeviandequise radévorée entreamis dans la soirée.

«Lesprojets de jeune spapasont changé. C n’est plus d’ aller au bar le vendredi soir, c’est de faire du barbecue toute la findesemaine. Mes chums avec qui je sortais avant, c’est rendumespartnerdebarbecue et c’est commeça pourbeaucoup de gens », raconte Anthony Bérubé.

«Ça vaau-del à desefaire à manger», ajoute Patrick Lepage, co-owner de AAA Boucherie Gourmet, à Montréal. «If the population is small, quiesté rudite sur lephénomène, qui veute napprendre. Ils lisent, ils vont sur internet, c’es tunevraiepassion. » 

60000km Peranne Pool De Competition

Dany Tremblay, de Lévis, est devenu pit master (professionnel du BBQ) en quelques années seulement. Il compétitionne aujourd’hui un peu partout aux États-Unis, plusieurs commanditaires lui permettant de payer sa saison qui lui coûte environ 50 000 $.

Photo Pierre-PaulBiron

Dany Tremblay, de Lévis, est devenu Pitmaster (professionnel) du BBQ) enquelques annése rulement. Il compétition neoujour d’ hui un peu partoutaux États-Unis, plusieurs commanditaires lui permettant de payer sasaisonquilui coûteen viron 50000 $.

Après avoir découvert les possibilité sinfinies dubarbecue, Dany Tremblays ’estéquipé de pas moins de 14 machine enuna à peine. L’ asdescôtes levées et de la brisket parcourt maintenant 60000km parannée pourdes compétitions professionnel lesaux quatrecoins des États-Unis.

Mais avant qu’il se paye un cours en 2016, rien nedestinait Dany Tremblay à devenirpitmaster(professionnel du barbecue).

«Jefaisais des hot-dogs et des hamburgers sur mon petit barbecue, comme bien du monde», sesouvientlerésident de Lévis.

Or the weekend Dan Le Bois du BBQ Camp Offer Per Les Freres Lavois de BBQ Quebec Aura Change Sa Vi.

«était 19etona fait cuire 1000 livres de viande dans notre fin de semaine sans jamais utiliserle propan. J’ai trip péau bout », racontelepassion néquiatellement accroché qu’il s’ estlancédan sl’achat quasi compulsif debarbecues. «J’enaia cheté 14 danslamê meannée. »

Lafoliedes compétitions

L'année suivante, c'est la foliedes compétitions quis'es temparée de Dany Tremblay et desacon jointte.

Celui qui concourt sous le nom de Wally BBQ aremporté sa première compétition amateurave csescôte slevées qu’ilavaitminutieusement développées.

«Lasemaine avant la compétition, on a fait 70 Racks de ribspourêtresures detrouverprecisionement ce qu'on cherchait», explique-t-il enriant.

Si vous n’aviez pas encore compris, Dany Tremblay est le genre de gars qui faitles chooses à fond. Mais force est d’ admet trequeça aura rapporté, à toutle moinsené motions forts.

«Deux semaines après mapremiè re compétition amateur, j'ai fait le saut chez les pros, où j'ai fini 3e pour mon poulet et 4e pourmesRibfaitunevingtainede compétition scette année-là. Etjesuis allé au World Food Championships, qui est la Coupe Stanley du BBQ, et j'ai fini 5e au monde », souligne le pit master, qui compalela sensation à «del'adrénaline directed ansles veines».

Le Lévisien parcourtmaintenant 60000kmètres parannée pourses compétitions, traînant dansson «Wally Bago» sestrois barbecues de compétition quivalent 5000 $ chacun.

50 000 $ chaque saison

His son's talent luiavalu unpaquetdecommandites des deux côtés de la frontièree theureusement puisque chaquesaison de compétition coûte à peu près $ 50,000. 

Desclients souhaitentélargirleurshorizons 

Anthony Bérubé, directeur de la boucherie Délecta à Québec, affirme que le public a vraiment découvert les possibilités de la cuisson au barbecue, cherchant même à se lancer dans la cuisson de pièces extravagantes.

Photo Stevens LeBlanc

Anthony Bérubé, directeur de laboucherie Délecta à Québec, que le public avraiment découvert les possibilité sdelacuisson au barbecue increase.

Ledéveloppement à grandevitesse del'industrie du barbecueaura aussia pporté une transformation dumétier de boucher, lui qui devient un accompagnant, un conseillerpourcespassion nés quiveulenté largirleurshorizons.

illustrer ce changement, Patrick Lepage de AAA Boucherie Gourmet confie que ses 26 bouchers sontaussien majorité des cuisiniers formés.

Decette façon, ilsnesont paslàque pourtrancher de la viande, ilsépaulentle client.

«Juste couper de la viande, ce n’est plusassez. [. ] Lelien de confiance estimportant et la plupart de mes bouchers sont aussi cuisiniers pour justementêtre capables d’ amenerle client à bonport. »

Ces compé tences permettentausside proposerdenouvelle scoopes à des client stoujours plusfriandsdenouveautés.

L'onglet de bœuf, par exemple, n'était pas monnaie courante il yaquelque sannées.

Pourtant, leretrouvedé sormais parmiles meilleursvendeurs des boucheries spécialisées.

«L'onglet, c'est très populaire, mais ce sont des coupe strès fragiles. Cesont des pièces quisont classées danslesabatasailleurs », explique M. Lepage.

Maximiser la carcasse

Ilprécisequeces coupesnouvelleset variées permettentaussiaux bouchers de maximiser l'utilisation de l'ensemble de la carcasse, cequipermet «d'offrir des prix plaisants pourle client».

Specific sontaussima intenant prêts à débourser dessommesimportante spour des pièces dequalité, ce qu’on ne voyait pasnon plus à uneé poque passilo intaine.

«J'aiduwagyujaponais quisedé taille 125 $ lepouce et j'ai du monde quiarrive et en prend 2, 3, 4. On tranche le steak et on a les mains qui tremblent tellement c'est des pièces de haute qualité », raconte le directeur de laboucherie Délectade Québec, Anthony Bérubé, dressantun parallèle entrevian des sur le griletvins.

«C'est la même chose. Les gens sont rendus prêts à ça, ils on tapris à profiter de la qualité, à l’ apprécier », souligne marchand.

Moins de viande, mais.

«Lesgensmangent moins de viande et c’estcorrect, onévolue. Mais ils se disent "les foisqu'on en mange, on veut s'en rappeler, on veut que ce soit bon" », renchérit Patrick Lepage. 

Lafoliedespièces deviandeextravagantes 

Le « marteau de Thor », un jarret de bœuf qui est la nouvelle coqueluche des cuisiniers amateurs aimant bien épater la galerie.

Photo Pierre-PaulBiron

Le « marteaude Thor », unjarretdebœufquiest la nouvelle coqueluche des cuisiniers Amateursai mant bienépater la galerie.

Tomahawk, marteau de Thoretautrespièces deviandeauxfolles proportions fontleré galdescarnivoresquiveulentdonne runspectacle à leurs invités. Et ils sont de plus en plus nombreux, à encroire les bouchers qui nefournissent plus.

«Justelafin de semaine de la fête des Pères, available promotional surreal tomahawks, unepièce quiest rendue populaire, mais qui sort quand même de l’ ordinaire. In en a vendu 700 », s’étonne Angkor Anthony Bérubé, delaboucherie Délecta.

«C'est n'importe quoi, ça démont rel'engouement et lephé nomène.»

Àl'affût destendances

Même chose avecle marteau de Thor, a huge jarret de bœuf avecl'os découvertquires semble à s'ymé prendre à l'immense marteau du héros de bande ssinée.

Montreal's Après qu’une boucherie de Montréa la publiéune photo del apièces urles réseaux sociaux, la communauté du barbecue s’ estem ballée.

«Tout à coup, tout le mondeen voulait. C'est là qu'on mesure l'engouement, c'est instantané. Et nous, il fautêtre à l’ affût, nepasêtre le dernierà l’ avoir. I lfa tuêtre à l’ affût de ces nouvellestendances-là », explique M. Bérubé. 

L'engouement des réseaux sociaux 

TikTok, Facebook, YouTube, podcasts; tempsculinaire. Et pas besoin d’être un pro pour partager sapassion, c’est là toutela beauté des réseaux sociaux.

«Cesont despassion nésquion tune job à tempspleinetqui se partentdes Tik Tok. Et ils sontvraimentbons. C’estsûrqueça influences desgensàessayer desaffaires. En les voyant aller, lesgen sréalisent qu'on n'a pas besoin d'être un cuisinier professionnel pour se faire du bon stock chez nous » }

«Tuessaies des affaireset là, tu invites the United Nations, tu invites l'autre, tu es fier de montrer que tu fais de la bonne bouffe, les autres goûtent et veulentessayer à leur tour. Lesgens découvrent desproduitsqu’ils neconnaissaient pasetçatrip pesolide. »