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Logement: unecrisebienau-delà de Montréal

La crise du logement se fait sendir plus que jamais cette année à l’ extérieur des grands center alors queplus de 600 ménages qué bécoisse cherchenttoujour suntoit.

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«Ons'attendaità un 1er juillet difficile, bien, on eu un 1er juillet difficile dans plusieurs régions du Québec », lancée d'emblée Véronique Laflamme, porte-parole du Front d'action populaire enré aménagementurbain (FRAP) conférence depressetenuesamedi.  

Selon le FRAPRU, jamais parle passé la demanded'aiden'aété aussifortepourles locataires quiseson tretrouvés sansbaille1er juillet. Au moins 4000 ménage sauraient demandé del ’aide aux services d’ urgence pourseloger.  

La baisse des taux d’ inoccupation observéedans plusieursmunicitalité slaissaitaussiprésage runeaugmentation desménages sanslogementau lendemain de la fin des baux de location pourdesmilliers de Québécois. Ils sont finalement 621 sans toit, cette année, une centaine de plus qu’à pareille date l’ andernier. 

À Drummondville, oùletaux d'inoccupation est de scenduà 0.2%, soit bienendeçà du 3%, untaux jugésain pourlem archélocatif, ilssont 135 ménagestoujourssanstoit. 

La Munisit du Center du Quebec Se Hisse Donk au Somet du Marlou Crashion de Munisit au Ron Lessence Le Plus Grand Nomble de Menage Saint Logis. 

Unepremière, selon Véronique Laflammequi soutient qu’habituellement ce sont des grandes villes comme Montréal, Québecou Gatineau quirem portentlapalme. 

«Jepenseque c’est uneillustration de cette crise du logement qui s’ estéten due et qui se vit actuellement dans les régionshors Montréal », estime-t-elle She. 

Situation alarmante à Montréal

La Situations s’ est détério réedans lesrégions, mais elle ne s’ est pas amélio réedans les grandscenters. 

À Montréalet à Québec, mêmesi le taux d’ inoccupation n’est pas alarmant, ils sont toujours 118et 55 ménages à la recherched’unnouveau bail. 

«Cen'estpas qu'une question de taux d'inoccupation à Montréal, il y a des logements disponibles, mais ceux qui le sont, ils sont hors de prix», soutient la porte-parole. 

Cette der nières ’inquiète de voir la hausse Rapide des loyers s’ étendre danslesvilles plus éloignées. Elle cite par exemple Saguenay, Rimouskiet Drummondvilleoù le coût destroyersaugmenté siviteque les résidents de desvillespeinent à trouver des logement squiré pondent à leur budget.  

Lepire à venir?

Le FRAPRU soutient que la situation, pourrait empirer dans les prochains jours alors quedenouveaux ménages pourraientdemander del’aide.

«À Montreal, l'an dernier, le nombredelocatiaresac compagné sparle service d'aideavaitpresque doub léentre le 30juin et le 15 juillet», serappelle Véronique Laflammequi qualifie les chiffres actuels de par. 

Afind'éviter lepire, l'organisme qui lutte pour les droits des locataires imploreles décideurs publics demaintenirles mesures d'aide gouvernementaleenplacejusqu'à cequetousaienttrouvé unlogement.

NOMBREDEMÉNAGE SANSLOGEMENT DANSLESPRINCIPALESVILLESTOUCHÉES

  • Drummondville: 135
  • Montreal:118
  • Quebec:55
  • Sherbrooke:50
  • Gatineau:40
  • Trois Rivieres:24
  • Kawansville:23
  • Granby:20
  • Laval: 15
  • Victoriaville:14
  • Saguenay:13
  • Rimouski:10
  • Joliet:10

*: source: Front d 'action populaire enré aménagement urbain (FRAPRU)