Parmi ces personnes figurait une Belgo-Israélienne, Addi Gan-El, qui se trouvait dans le kibboutz (village agricole collectiviste) Nahal Oz avec ses trois enfants quand le Hamas a violemment attaqué le territoire israélien le 7 octobre dernier.
« Il est important pour moi de recevoir ces familles de gens qui ont été pris en otages (…), de leur donner un visage », a affirmé le chef du gouvernement fédéral avant de recevoir ces huit personnes pour un entretien au Seize.
« Prendre des otages, c’est un crime de guerre. C’est quelque chose que l’on ne peut pas tolérer », a-t-il ajouté en appelant le Hamas à libérer davantage d’otages.
M. De Croo a rappelé que quatre otages avaient été libérés récemment. « Mettre de la pression sur le Hamas, cela a de l’influence », a-t-il souligné.
Selon les derniers chiffres des autorités israéliennes, quelque 220 otages sont encore détenus par le mouvement islamiste après avoir été enlevés en territoire israélien le 7 octobre.
« On veut que tout soit fait pour empêcher qu’il y ait des victimes civiles » supplémentaires, a encore dit le Premier ministre en s’adressant à Israël.
La délégation des familles avait été reçue peu auparavant à la Chambre, où elle a été invitée à s’exprimer devant la commission des relations extérieures.