© FLEMAL JEAN-LUC
Ils n’ont pas d’organisations pour défendre leurs intérêts, pas de ministres qu’ils ont désigné pour parler en leur nom, pas d’accès aux forums des journaux pour publier des cartes blanches. Ils sont - par la nature des choses - absents du débat public. Invisibles. Inaudibles. C’est dès lors en silence que les adolescents souffrent.