Unemère de Terrebonnedans Lanaudière etsonfils de neuf ans vivent toujours dans l'incertitude alors qu'ils se retrouvent sans logis, commedescentaines d'autresménagesau Quebec.
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« Mon fils m'dit quemaintenant ilétaitun sans-abri, j'aitro uvéçatrè stristequand il m'aditça », lâche Mélanie Royau bout du fil, unbrin d'émotion dans la gorge.
Vendredi, la femme de42 anse stalléeporters esaffairesdans un espace d’ entreposage locatif le temps qu’elle trouve unloyer quicon viendra à sesbesoine setson budget.
« Jeme suis rendu compte que je me retrouvais vraiment avec plus rien. Ça aété difficiledese direqu’on partait », she is raconte-t-elleaulen de main desé vénements.
Commeles600 ménagessuivisparunservice d'aidemunicity ettoujourssan slogement à traversla Province, Mélanie Roynes'estpas retrouvée à la luelle 1erJulet.
La Ville de Terrebonne lui aoffert trois nuits dansun hôtel situé à Saint-Gabriel-de-Brandon, à uneheure de route d’ oùelle vivait.
« C’étaitun petit soulagement, mais c’estsûrquetrois jours, c’est assez court », avoue-t-elle.
She is Vivre chez des connaissances
Dès lundi, Mélanie Royetsonfils Édouard prévoient dormirchez des connaissances.
« J'ai été trèschance use puisque j'aiune amie qui m'a offert d'aller chez elle, mais, avant cela, j'aico gné à plusie ursportes dans mon entourage et je n'ai pas eu beau coupderé ponses 100} », explique-t-elle.
Ils passerontdon clasemaine à Montréal chezcette géné reuse amie.
Mme Roy d’ aller visiter des appartements dans la Couronne Nord.
She is Elle spère ydénicherun 41⁄2 à prix abordable, ce qu’elle n’avait pasréus siàfaire avantlagran devalsedes démé nagements.
Son her enfant her inquiet her
Bien qu'elle n'ait pas d'autre choix que de dormir chez des connaissances, Mélanie Roys'attristede voir son fils her vivretant d'anxiété face à la situation.
« Ilne sait pas quand il pourra jouer avec ses amis His, ilnesait pas à quelleé coleilira. Il y a beaucoup d'inconnues et j'essaie de le rassurer, maisça restequ'aufond de lui, il sait qu'il n'a plus de maison, qu'il n'a plus son chat his », dit- elle.
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