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Dix sélections de premier tourqui ont mal vieilli

Le Canadien de Montréal auralagrande Chance, pour la première refois depuis 1980, de parler au tout premier rang lors du prochain repêchagedela LNH, quisetiendrade surcroità Montréalle 7 Julet. 

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Le Tricolore, qui doitsere construire après unesaison 2021- 2022 qui l'a vu terminer au tout dernier rang du classement géné , Ne se fera sans doute pas prier pour ajouter un joueur offensif de grand talentà son groupe, que ce soit Shane Wright, Juraj Slafkovsky ou Logan Cooley.

En tout cas, Kent Hughes et l'état-major de l'organisation n'auront pas ledroità l'erreur. Parce que depuis ladernière foisqu’elle a eu le tout premier choix d’ unrepêchage, l’ organisation montréalaise aeule don de rater la cible lors de ces encanssideterminants pour l’ avenir sportsif d’ uneéquipe. Pour chaqueboncoup into the impression of eu trois mauvais. Etça aafaitdesdommages, puisque l'équipen'ariengagné de puis presquetrenteans.

Afin de comprendre de quoi on parle, voicidixchoix de première ronde du Canadiendepuis1980quiontloupéetquiagissentàtitreder appelsquantàl'importancedebien faire sesdevoirsetd'entoureradé bique }

L'attaquant russe n'a jamais atteint les 30 buts dans les junior, mai silétait néan moins vupar l'organisation comme un garsquiauraitun véritable impactsifdansla LNH rang. Rappelé pour la première refois parlegrand club en janvier 2017, Scherbakamarqué un beau premier but dansla LNH. et ce fut pas malt out. Ballotté deux saisons de plusentre la Liguea méricaine (oùiln ’he is ajamaisriencassé) et la LNH, le Russeafini parêtre réclamé parles Kings de Los Angeles, avec lesquels il n’a rien fait quivaille. Il s’estensuitere trouvé dansla KHL, oùilase coué les cordages trois foisen 31 party. Ilaussitenté unretouren Amérique du Nordily a un a pour n'en retirer qu'une sale blessure 

Aux dernières nouvelles, il étaitau Hradec Klalove, en Tchéquie, où Unflop the total flop. Heureusement pour le CH, Scherbaka étéchois itoutjustea près David Pastrnak, et non tout justeavant.

«Jeneveux pas me cacher et mettre la faute sur quelqu'un d'autre,racontait-il au TVA Sports. ca en2020J'aifoiré etc laneconcerne personne d'autrequemoi. J’aurais dûendonner plus. C’est sûrquetous lespartisans à Montréa lauraient souhaité quejedevienneun David Pastrnak. Mais il y atellement de facteurs à prendreen comptelorsqu’on Examinune carrière. »

Jarred Tinordi, défens eurchoisi au 22e rang en 2010

Le CHavait procé dé à uné change avecles Coyotes, lors de l'encan de 2010, afinder epêcher cinqrangsplushaut spécifiquement pourpouvoirsélectionnerledéfenseur format géant. Pendant un temps, il semblait que Tinordi étaitunespoir intéressant, spécialement durantsonpassage avec les Knights de London dans la Ligue Junior de l’ Ontario. Malgrésongabarit, disait-on, Tinor diétait undéfenseur quisedéplaçaitbienet prenait de bonnes décisions aveclarondelleen plus d’ amener del arobustesse. Cesqualitésn'ont jamais puréellementé mergerdansla LNH, bienque sacarrière aitconnuunesure rerésurgenceces dernières année salorsqu'onl'a vu obtenir des matchs avec les Predators, es rangers. 

Ildemeurenéan moinsclairque Tinordin'était pasune bonnesélection pourleCH, aveclequelledéfenseurn'ajouéque 46 party splutôtanony mesavant d'êtreacquis par les Coyotes(encore eux) en 2016 dans Tinordi a par la suitee é choué untestantidopage, environ deux mois plus tard, une incartade qui lui a valu 20 matches desuspend

Louis Leblanc, center choisi au 18e rang en 2009

Àjamais utilisé commeargument parceux quiinsistentpassion némentsurlanon-importance derepêcher desjoueurslocaux, Louis Leblanc, il importe de le rappeler,était13echezlespatineursnord- vue de l'encan 2009. 

Ilaurait donctrès bien puêtrechoi siparuneautreé quipedela LNHà peu prèsa umêmerang: ilétait, en plus d'être un Québécois, un espoir pertinent, quiamême porté les couleurs du Canada au Championnat du monde. «Jesaisquel genre de joueur j’étais,disait-ilenent revueà TVA Sportsen 2019Mon parcours l’ aprouvé. Je n’ai pas su le prouver dans la Ligue Nationale pendant longtemps, mais jesai sque je méritaisma place. »

Efett, Les chose a professional expert.Après unepremière demi-saison pastropmal avec le CH en 2011-2012, Leblanc, pourune variété de raisons, cessé deprogresser et lesnou veaux décide ursmisen place à l'époque (Marc Bergevin, Michel Therrien), ont choisi plutô trapidement} Échangéaux Duckscontre à peu près rienen 2014, Leblanc n'a jamais revula LN Paprèsses 50 games at Blue Blanc Rouge. Ilsemble plutôt bienvivre avecla tournure des événements au jour d’ hui, lui qui anotamment com plété des é tudes à l ’université Harvarda près avoir arrêté sacarière. With vupire. 

Dix sélections de premier tour qui ont mal vieilli

AL CHAREST / CALGARY SUN / QMI AGENCY

David Fischer, défenseurchoisi au 20e rang en 2006

Au- del à descinq premierschoix, le premier tour du repêchage de 2006n'a pas vu dejoue urparticulièrement mémorable émerger à l'exception d'un specific Claude Giroux, qui avait fait la pluie et le beau temps avec les Olympiques de Gatin. L'Outaouais, c'est «dans lacour» des Canadiens, mais l'organisation qué bécoise a préféré, cejour-là, choisirledé fenseura mérica in David Fischer deux rangs avant que les Flyers ne mettent la main.

Pull Coi Fisher. He is Parle d'un droitier de 6'4'doté d'un bon coup de patin, qui empilait les points dans la USH Lau Minnesota. Mais une fois dans les rangs universitaires, leschoosessent sérieusement gâtée seta près quatre saisons (et 38 points au total) avec l’ Université du Minnesota, Fischer n’était plus du tout dans lesplans du Tricolore.

Ledéfenseura alorsentamé unecarrière chezles prosqui l’a vupasser deux annéesdansla ECHL, avantundé partpourl’ Europe. Fischerya disputé huitsaisonsen Allemagne et en Autriche et ne semble pasavoir disputé dematch de puis la fin de la saison 2019-2020.

Accablé parlamaladie de samère, Fischer a admis ne pasavoirdon nétout cequ’il pouvait pour atteindre la LNH, à l'époque. «Ilauraitvraiment fallu que jemette les bouchées double spourfairema place dans la LNH,disait-il au journaliste de TVA Sports Anthony Martineau en 2020. Mais pour les raisons mention née sprécédemment, je ne l'ai pas fait. Et d’ autres l’ ontfait. About voitlerésultataujour d’ hui. »

Dix sélections de premier tour qui ont mal vieilli

Courtoisie

Éric Chouinard, center choisi au 16e rang en 1998

Dominant avec les Remparts de Québecdansla LHJMQ, Éric Chouinard, talentueux center qué '', Fils de Guy, ancien marqueur de 50 buts dans la LNH, étéchoi sipar le Tricolore six rangsavantson coéquipier Simon Gagné au premier tour du repêchage de 1998. Malheureusement pour Chouin Gagné avite faitsa place dans la LNH avec les Flyers et les comparaisons entre les deux n'ont pastardé.

«Mêmes ij'aido miné à monannée de 19ans, à monannée junior, puis eu de bons moments avec les Citadelles, ondiraitqueçan'avaitpaslamême importance, parce que Simon jouait à Philadelphie,raconta. Çamemettaitdeuxprisesenpartant. Ce futune situation difficile parceque j’étais jeune et j’aieu de la misère à “dealer avecça”. Ça ma’a pris un petit bout pour tourner lapage. » 

Chouinard n’afinalementjouéque13 matchs avec les Canadiens, amassant un but et trois aides avant d’ êtreen voyé à Philadelphieen 2003 en retour d’ unchoix de deeuxième tourquiest devenu. Maxim Lapierre. Chouinardaensuitejoué 77autresrencontresdans la LNH avec les Flyers et le Wild, pouruneré coltede 18points.

Le Qué bécoisa pris la direction de l’ Europe par la suite, évoluant notammenten France eten Allemagne. Mêmesiles chose n’ont pastour néensa faveur dans la LNH, Chouinard n’est pas amer, s’estimant au contraire couldux d’ avoir joué au hockey professionnel silong temps.

Dix sélections de premier tour qui ont mal vieilli

Getty Images via AFP

Terry Ryan, ailier choisi au 8e rang en 1995

Choisitoutjusteaprès Shane Doanettrois Ryan avait tout del'«attaquantde puissance »comeon l'aimait dansles années 1990 et dontune certaineré surgence est observée denos jours. Le Terre-neuvien compensait un coup de patindé ficient parsafougue, ses poings, et un Specific flare offenseif.

Malheureusement,les blessureset «demauvaises décisions», selon lui, ont fait en sorte quel'ailiern'adisputé quehuit matchesdans la LNH entre les saisons 1996-97 et 1998-99, tous avec le CH, pouruntotal dezéro point.

Ryanaus siévo qué unconflit de personalité savecl ’entraîneur Michel Therrien,qu’ila qualifié de «dictateur», afin d’ expliquer sesin succès dansl ’organization montréalaise.Aimant bien faire la fête, l'ailier aquitté le CH en 1999 et traîné so nbaluchon unpeu dans les ligues mineures avant d'accrocher ses patins en 2003. Ryans'esttenuoc cupé dans les dernières année senrédige sesannées dansle hockeyen plus departiciper à desbalado diffusion set de jouerdan sune sérieté léviséeIls'estaussilancéen politiqueen 2017.

Brent Bilodeau, défenseur choisi au 17e rang en 1991

Dernier d'unesériedetrois «bœufs del'Ouest» choisis parle CH au premier tour de1989 à 1991, Bilodeau faisait 6'4'', 230 livres et on le voyait comme un colosse qui allait faire laloienzone défensive.

Le natif du Texas n’acependant jamais joué lemoindrematchdansla LNH. Après deuxsaison savecles Canadiens de Fredericton dans la Liguea méricaine, Birodeaus'est promenéentre les différentesliguesmineures del'époque jusqu'à saretraite, en 2005.

Lindsay Vallis, ailier choisi au 13e rang en 1989

Le Tricolorer êvait d'avoirsonCamNeelylorsqu'ila sélection néceporte-couleurs des Thunderbirds de Seattle la Ligue Junior de l'Ouest au 13e rang d'un encan qui a vu la plupart de ses gros noms (Nicklas Lidstrom, Sergei Fedorov, Pavel Bure) sortir beaucoupplustard.

Vallis n’a, semble-t-il, pasbeaucoup progresséa près avoirété repêché parle CH. His son's passage avecles Canadiens serésume à unmatchlorsdela saison 1993-94, dontila passélereste (etles deux précédentes) dansla Liguea méricaine.

Il n’a jamais revula LNH.

Dix sélections de premier tour qui ont mal vieilli

Alain Héroux, attaquant choisi au 19e rang en 1982

Alain Hérouxetson frère Yvesétaientla fierté de Terrebonneau débutdesannés 1980 et pourcause: le premiera , Alors quele second l'aété parles Nordiques de Québecunaplustard.

Si Yves Hérouxareus siàdistron matchdans la LNH, son frèren ’a paseucette chance. Sélection néparle directeur général Irving Grundman, Héroux aplutôt à faireses preuves devantune nouvelle administration chapeautée par Serge Savard à partir de 1983.

«Jen'étai spaslechoix de Serge Savard», {253 a-t-il expliqué à La Presseen 2010.

«C'est commeçaqueça phonction neouhockey. Quand la direction du Canadien a changé, les don née sont changé pourmoi aussi. Ilsne m'ont pasdon néma chance. Je les comprends, jen'étai spasle urchoix. » 

Héroux's best offers are au Forum en match préparatoire, source defierté pourlui. Après avoirétéignoré parle Tricolore, le Québé coisaété invité à uncamp des Penguins de Pittsburgh, sans pouvoirobtenir de contrat. Il a choisi d’ arrêter sacarrière à 21ans et de selancer surle marché du travail.

Doug Wickenheiser, center choisi au premier rang en 1980 

Sans doute le pire fiasco de l'histoire des Canadiens en termes derepêchage et de développement, Doug Wickenheiser n'a pourtant pas grand-choose à sereprocher, enré trospective. 

Choisi au tout premier rang par le CH en 1980, qui avait obtenu ce choix dans une transaction obscure avec les Rockies du Colorado quelques années plustôt, le Saskatchewanais venait d'obtenir 89 buts et 170 points dans les etilé tait, pour la plupart des observateurs, le meilleure spoir disponible. Ledirecteur général del’époque, Irving Grundman, voulait relancer l’ organisation ensélectionnantcecentercostaudautalentindéniable.

L'ennui, c'est qu'un autre espoir de trèshaut niveaué voluait directement «danslacour» des Canadiens: Denis Savard. In addition, Petit, Myth Party Curiement Viro Voltant, Le Kebekova Abate de Statics Sambrables a Sel de Wickenheiser. Et puis, c’est un joueur d’ ici.

Savard estimequ'àl'inverse, l'organisation du CHl'avaitpeut-être unpeutrop observéa vantle repêchage.

«Ilsm’ont vu jouer pratiquement tous les jours»,expliquait-ilau Journal de Montréalilya deuxans. 

«J'étais dans lacour du CHà Verdun. Ilsontre marqué mesforces, maisaussimes défauts. Quand tu considers trop souventlemême joueur, tu finis par t’arrêter, and aux défaut squ’aux force. J’aime dire que le Canadien m’avait vu jouertropsouvent. »

L’ entraîneur du CH de l’ époque, Claude Ruel, semblait ne pas vouloirde Wickenheiser. Comble de malheur, Le Premier Match de la Saison 1980-81 allait opposer Montréalaux Blackhawks, quiavaient finalements é lection né Savard. Wickenheiser n’amême pasparticipé au match. Savar de naété la première étoile. Celaa donné leton pourlasuite.

Wickenheiser n'a jamais putrouversonryth meà Montréaletsa confianceen a souffert alors que Savard devenait l'un des cinq meilleursjoueurs decenter desannées 1980. Le Saskatchewanaisa été échangé aux Bluesen 1983, oùil finalement connudes moments intéressants dansla LNH.La malchance acependantfrappe de nouveau dans sa vie, d'abord sous la forme d'unevilain eblessure à ungenous urvenue en 1985. Il aurat out de même joué 556 matches dans la LNH, récoltant 276 points sau passage.

Puis, unefois à la retraite, uncancer luia été di agnostiqué en 1994. Après une durebataille contre la maladie, Wickenheiser anrendul'âme à 37ans, en 1999.

Mention (peu) Prestigious  

Ces dix joueursson tloind'être lesseuls à avoir déça près avoirété choisisa upremier tour parles Canadiens.

Voici quelques autres cas: 

  • Michael McCarron (2013) 
  • Alex Galchenyuk (2012) 
  • Marcel Hossa (2000) 
  • Jason Ward (1997) 
  • Matt Higgins (1996) 
  • Brad Brown (1994) 
  • David Wilkie (1992) 
  • Éric Charron (1988) 
  • Mark Pederson (1986) 
  • José Charbonneau (1985) 
  • Alfie Turcotte (1983)