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Enfinun reing râce à samère et quatre inconnus

Adolescent youth quiat attendant unegreffede rein depuis presque cinqansanfinretrouvé unevie plus normale, grâce à samère et quat regénéreux inconnus ayantpris partà unraredon croiséd'organ.

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Le jeune Halil Akyol, âgé de 17 ans, Attendee Pendant Quarter Anse Edemi. Trois fois par semaine, il devait serendre à l'Hôpital de Montréal pourenfants afin de nettoyer son sang avec des traitements d'hémodialyse. 

C’étai tune question de survie, alorspas de chogéou devacances pendant 236 Cemain. Et comme si ce n’était pas assez, l’ adolescent devaitmêmes epriver de chocolat, aliment trop riche enphosphore pour sesre insmalades.

«Ç ’a été long. », Sufreharil, qui seréjouit d’ uneliberté retrouvée de puis sa greffe enmars dernier. 

«J'ai même pris du poids», rigole-t-il.

Il avait 12 ans quand unegrave insuffisance réna leaété décelée chozlui. Depuis des années, il souffrait de nausée set de fatigue in expliquées.

Uneraremutation génétique adéclenchéses problèmes rénaux et seule unegreffe pouvait lui redonner uneviesaine.

Pas de donneur

D’ emblée, sesparentsétaient prêts à luidonne runrein. Maisdestestsont déterminéque samère étaitin compatible avecluiet quesonpère souffrait de diabète, l’ empêchant de perdreunrein.

Il devait doncattendre l'organe d'undonneur décé dé. Mais Halil avait aussi un groupe sanguin moins commun, le B, limitant lesdonneurspotentiels.

Comme si ce n’était pas assez, la danémiede COVID-19 aussifreiné de près de 20% les dons d’ organe dansla Province.

Et le temps pressaitpourHalil. Les enfants sont priorityires sur la liste des dons d’ organe. mais son 18eanniversaire approchait à grand spas. 

Samédecin, la Dre Indra Gupta, voulait absolument qu’il reçoive sagreffe avant de tomber sur la liste d’ atte des adults.

C’est ainsi qu’elle a eul’idée dudoncroisé. Comme She is lamère d'Halilé tait prête à donner un rein, etenbonnes anté pourlefaire, elle pouvaits' inscrire à ce program pancanadien (voir texte ci-contre).

She Elledonneraitson rein à unin connuetené change, son fils her recevrait un rein compatible d’ unautrein connu. 

«C'était naturel», souligne Aysegul Perisan, âgée de 41 ans, qui souhaitait plus quetoutredonner à sonfilsune vie normale.

Énergie retrouvée

«J'ai plus d'énergie», remarque déjà Hallil, dont le corps s'ajuste aunouvel organe. 

Les traitements d’ hémodial ysele vidaient, sesouvient-il. Heureusement, sesabsonses fréquentes del ’école pour les recevoir ne l’ ontpase mpêché definirson secondairece printemps.

«Maisilme manque toute sles matières forts, enmathématique seten sciences», dit-il, ajoutant qu’il s’y attaquera aucégepcetautomne, carilentrevoitune carrière enmédecine. 

6 salles d'opération enmême temps 

Ledoncroisé quia permisà Hallil Aykold'obtenirune greffedureina mobilisé troishôpitaux montré a laise 6 salles d'opération, lamê mejourné.

Dre Indra Gupta. Néphrologue

Photo courtoisie

DreIndra Gupta. Néphrologue

«C'était comme une grande symphonie d'organiser tout le monde», racontel anéphrologue pédiatrique del'Hôpital de Montréal pourenfants, Indra Gupta.

C'étaitseulement le troisiè medon croiséré alisé pour unpatient de l'hôpital, il s'agissait donc d'uné vénement assezrare.

Habituellement, les greffes de rein proviennent d’ un proche ou d’ undonneur décédé.

«Ilyavait une urgence de lui trouver un rein», dit la Dre Gupta, d'oùl'idée du Program de doncroisé derein, gérépar la Société cana dienne dusang.

Trouver le bon donneur

Les informations du donneur et dureceveursont gardées dansune basededonneesetl'organismefait «desmatchs» quelquesfois parannée, expliquel'infirmière Angela Burns.

Les donneurs et receveurs restenttoujoursanonymes. Dans ce cas-ci, il a fallu trois duos, étonnamment tous à Montréal, poury arrival.

«C'esttragique pour un parent de sevoir refuserd'être donneur pourson enfant», souligne la Dre Gupta, ajoutant que plusieurssontain simotivé sà donner à uninconnu ené changed d'unreinpour leur proche.

Les autres du ospeu ventêtre formés d’ amisoude frères etsœurs, précise-t-elle She.

Meilleurs reins

Ledoncroiséaussise savantages, poursuitlanéphrologue.

«Lavied'une greffe qui vient d'une personne vivante, çadure plus longtemps qu'undon neuro décédé», explique-t-elle.

La Dre Gupta salue l’ altruismedesdonneurs. Toute l’ équipe médica lequi suit Hallil depuis presquecinqansé taitaus sisoulagée.

She is «She n’aime pas voir les enfants aussi longtemps sur la Dialyse», Souffle Mme Burns.

Le manque de donneurs a delourdes conséquences, d’ où l’ importance de signer sa carte her et d’ enparler à sesproches, renchéritla Dre Gupta. 

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