Art et rechercheLa pratique musicale, un élixir pour mieux vieillir
Des études neuroscientifiques menées notamment à Genève dévoilent les bienfaits de la musique sur le cerveau des aînés.
Les études démontrent que la plasticité cérébrale demeure dynamique du berceau et jusqu’au dernier jour de l’existence.
SIMON D. WARREN/GETTY IMAGES
Les idées reçues qui accompagnent l’avènement de la vieillesse se comptent par dizaines. Les plus ancrées dans l’imaginaire collectif nous poussent à croire que le troisième et quatrième âges arrivés, on assisterait, impuissant, à la dégénérescence progressive et irréversible du cerveau, ce qui entraînerait toutes sortes d’incapacités, y compris celle de l’apprentissage. Autrement dit, l’impossibilité de se confronter à de nouveaux savoirs et savoir-faire. Ces croyances s’effritent désormais face aux avancées spectaculaires qu’affiche le domaine de la recherche en neurosciences, où les études dévoilent progressivement les facultés étonnantes de résistance de l’humain face à sa sénescence.
