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Guerre en Ukraine, en direct : Moscou prend la tête du Conseil de sécurité des Nations unies ; deux volontaires français tués en dix jours

 Les membres du Conseil de sécurité des Nations unies votent une résolution condamnant les référendums sur l’annexion de plusieurs régions de l’Ukraine occupées par la Russie, alors qu’ils se réunissent à la demande de la Russie pour discuter des dommages causés à deux gazoducs russes vers l’Europe, à New York, États-Unis, le 30 septembre 2022.

Live en cours

« Le Monde » a appris que deux Français ont été tués récemment. Le premier Kévin David est tombé le 21 mars à Bakhmout. Le second est mort il y a une semaine. Depuis l’invasion russe, huit Français ont été tués.

Les infos à retenir samedi 1er avril au matin

  • La ville martyre ukrainienne de Boutcha, symbole des atrocités attribuées à l’armée russe, doit devenir « un symbole de justice », a dit, vendredi, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à l’occasion du premier anniversaire de la reprise de cette localité par les forces de Kiev. « Nous ne pardonnerons jamais », a-t-il juré, promettant qu’« il y aura un nouveau Nuremberg ».
  • Selon le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, l’Ukraine a peu de chances d’expulser toutes les forces russes de son territoire au cours de l’année 2023, une tâche qu’il a qualifiée de « très difficile ». Il a également écarté pour l’heure la possibilité d’envoyer aux forces ukrainiennes des missiles à longue portée ATACMS américains.
  • Le président français, Emmanuel Macron, a accusé, vendredi, la Russie d’avoir « laissé faire, voire encouragé » les crimes de guerre « avec pour objectif clair de soumettre la nation ukrainienne par la violence ».
  • Le président russe, Vladimir Poutine, a signé vendredi un décret validant une nouvelle doctrine de politique étrangère, désignant l’Occident comme une « menace existentielle » dont Moscou doit combattre la « domination ». Dans un document de plus de quarante pages, la Russie se pose en rempart du monde russophone face aux Occidentaux, accusés de vouloir l’« affaiblir par tous les moyens ».
  • La majorité des membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont exprimé leur préoccupation quant à un risque de prolifération nucléaire, lors d’une réunion sur le déploiement annoncé par Moscou d’armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie. Cette réunion a eu lieu vendredi, à la demande de l’Ukraine.
  • Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a validé, vendredi, le plan d’aide d’un montant de 15,6 milliards de dollars (14,3 milliards d’euros) signé le 21 mars avec le gouvernement ukrainien.

Tout le live

Sergueï Choïgou promet aux troupes russes qu’elles recevront davantage de munitions

Le ministre de la défense russe, Sergueï Choïgou, s’est rendu au quartier général des troupes russes combattant en Ukraine et a promis d’augmenter l’approvisionnement en munitions de l’armée russe. Sur le front, des unités, notamment le Groupe Wagner, se plaignent régulièrement de manquer d’obus.

La Maison Blanche a annoncé jeudi disposer « de nouvelles informations montrant que la Russie cherche activement à se procurer plus de munitions auprès de la Corée du Nord » et prendre des sanctions contre Ashot Mkrtychev, un ressortissant slovaque, accusé d’avoir participé aux échanges entre les deux pays. John Kirby, du Conseil de sécurité nationale, a rappelé que selon les informations du renseignement américain, la Corée du Nord avait déjà fourni récemment une assistance militaire à la Russie.

Entretien entre Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky

Sur son compte Telegram, le président ukrainien écrit :

Lors d’une conversation d’une heure avec Emmanuel Macron, nous avons discuté de la coopération en matière de défense entre l’Ukraine et la France (…). Nous nous sommes concentrés sur de nouvelles mesures pour mettre en œuvre la #FormulePaix. Nous avons coordonné les actions dans le cadre des événements internationaux à venir.

Emmanuel Macron se rend en Chine de mercredi à vendredi. Le président français mettra en garde son homologue chinois, Xi Jinping, contre les conséquences d’un soutien militaire à la Russie contre l’Ukraine. « Si la Chine prend cette décision funeste, il y a un effet stratégique majeur sur le conflit », a estimé un conseiller du chef de l’Etat français. Il a précisé que le président Macron voulait « trouver un espace » avec Pékin pour des « initiatives » afin de « soutenir la population civile » ukrainienne, mais aussi « identifier un chemin à moyen terme pour une issue au conflit ». « Nous souhaitons éviter le pire et c’est la raison pour laquelle il faut les engager, pour leur présenter notre position », a-t-il ajouté devant quelques journalistes. Selon la présidence française, ce dialogue est d’autant plus crucial que « la Chine est le seul pays au monde en mesure d’avoir un impact immédiat et radical sur le conflit, dans un sens ou dans l’autre ».

Moscou prend la tête du Conseil de sécurité, une « honte » pour Kiev

L’Ukraine qualifie de « honte » la perspective de voir la Russie présider pour un mois le Conseil de sécurité des Nations unies, en vertu de la règle de la présidence tournante. « Ce n’est pas seulement une honte, c’est un nouveau coup symbolique porté au système de relations internationales fondé sur des règles », a écrit sur Twitter le chef de cabinet de la présidence ukrainienne, Andriy Yermak.

La Russie a pris ce samedi la présidence tournante du Conseil de sécurité pour une durée d’un mois, succédant au Mozambique. La dernière fois que Moscou a présidé l’instance suprême de l’ONU remonte à février 2022, pendant lequel les troupes russes ont envahi l’Ukraine. Le Kremlin a fait savoir vendredi qu’il comptait « exercer tous ses droits » à la tête des Quinze.

Dans un entretien exclusif à l’Agence France-Presse, l’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield, a estimé : « La Russie est membre permanent du Conseil de sécurité. Elle ne devrait pas l’être en raison de ce qu’elle fait en Ukraine, mais la charte [des Nations unies] ne permet pas de modifier son statut de membre permanent. »

Kiev sauvée par la rivière Irpine, rappelle Zelensky

Kiev était l’objectif de l’invasion russe, rappelle Volodymyr Zelensky dans une vidéo mise en ligne aujourd’hui. Pour empêcher les Russes d’atteindre cet objectif, au cours des deux premiers jours de l’attaque, les Ukrainiens ont détruit les ponts situés sur le fleuve au nord-ouest de Kiev. Le 25 et le 27 février, l’armée ukrainienne fait sauter une partie du barrage de la rivière Irpine, en amont du village de Demydiv, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Kiev. La route qui traverse ce village mène directement vers la capitale et il faut environ une heure de route pour parvenir au palais présidentiel. Incapables de traverser, les Russes se sont tournés vers une autre direction, finissant par aller vers Boutcha, la ville désormais synonyme d’accusations de crimes de guerre impliquant des soldats russes. Un an plus tard, l’eau n’a baissé que de moitié. Considérant qu’une incursion russe dans la région est toujours possible, l’armée ukrainienne interdit tout pompage.

En détruisant le barrage, l’armée ukrainienne a redonné vie à la rivière Irpine, qui était devenue un cours d’eau insignifiant depuis les grands travaux soviétiques des années 1960. « L’année écoulée, la végétation et une véritable faune sauvage sont revenues, assure Alekseï Vassiliouk, biologiste et fondateur du Groupe ukrainien de protection de la nature (UNCG). La meilleure chose à faire serait de laisser la vallée aussi inondée que possible et la nature se rétablir. Et on serait sûrs que les chars ne reviendront pas. »

Des responsables réclament que lui soit décerné le titre de « rivière héros », sur le modèle des « villes héros » créées par décret par Volodymyr Zelensky.

Lire aussi : Guerre en Ukraine : à Irpine, l’avancée russe stoppée par l’armée ukrainienne

Manifestation à Paris à la mémoire des victimes ukrainiennes de Boutcha

Il y a un an, après le retrait de l’armée russe de la région de Kiev, le monde découvrait à Boutcha des scènes de désolation, de carnage, avec des carcasses calcinées de véhicules, des maisons détruites et, surtout, éparpillés sur plusieurs centaines de mètres, les cadavres de civils, femmes et hommes.

A l’initiative de l’Union des Ukrainiens de France, un appel à manifester est lancé, aujourd’hui, à Paris, à 15 h 30, entre la place de la République et celle de la Bastille.

Kiev commande en Pologne 100 blindés financés par l’Union européenne et les Etats-Unis

L’Ukraine a commandé en Pologne cent véhicules blindés multirôle Rosomak, fabriqués sous licence finlandaise, financés par l’Union européenne et par les Etats-Unis. « J’apporte la commande obtenue hier de la part du premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, pour 100 Rosomak qui seront fabriqués ici », a déclaré Mateusz Morawiecki sur le site de production de ces véhicules, à Siemianowice Slaskie, dans le sud de la Pologne. La commande sera financée avec des fonds européens octroyés à la Pologne et avec des fonds américains obtenus par l’Ukraine, a ajouté le chef du gouvernement polonais, sans préciser le montant du contrat.

Rosomak est un véhicule blindé multirôle à huit roues motrices équipé d’un canon de 30 mm qui peut transporter huit hommes. Il est fabriqué sous licence du Patria AMV finlandais.

Comment l’Ukraine approvisionne les défenseurs de Bakhmout

Les Russes progressent dans la ville assiégée de Bakhmout. « Bakhmout est contrôlée à un tiers par l’Ukraine », affirmait jeudi Serhi Lechtchenko, un conseiller de la présidence ukrainienne, lors d’un briefing diffusé sur le compte Telegram de la présidence. Il a toutefois démenti que la ville était encerclée par les forces russes, comme l’a affirmé récemment un responsable prorusse de l’Est.

Selon les Russes, les troupes ukrainiennes livrent des renforts et des munitions aux défenseurs de la ville en empruntant des souterrains qui vont jusqu’à Tchassiv Yar, localité située à moins de 2 km. La chaîne russe RIA Novosti a diffusé la vidéo de l’interrogatoire d’un soldat ukrainien capturé par Wagner.

L’Institute for the Study of War, qui s’appuie sur des publications sur les réseaux sociaux russes et ukrainiens, confirme que les forces russes ont progressé : des images géolocalisées publiées le 31 mars montrent un drapeau du groupe Wagner sur un bâtiment du centre-ville, tandis qu’un commentateur russe note que les troupes d’Evgueni Prigojine ne progressent pas de manière significative dans la ville.

Des images géolocalisées montrent aussi que les Ukrainiens ont repris des positions autour de la ville. Hanna Maliar, la vice-ministre de la défense ukrainienne, rappelait hier que la défense de Bakhmout permettait d’épuiser les forces russes.

Le ministère de la défense britannique estime que « les Russes n’ont réalisé que des gains marginaux, au prix de dizaines de milliers de victimes, gaspillant l’avantage numérique temporaire que leur avait conféré la “mobilisation partielle” de l’automne ».

Deux volontaires français tués en Ukraine

Un soldat ukrainien de la 28e brigade sort de son abri, non loin de Bakhmout, le 27 mars 2023. (AP Photo/Libkos)

Le Monde a appris que deux Français, combattants volontaires en Ukraine, avaient été tués récemment. Le premier, Kévin David, est tombé le 21 mars à Bakhmout. Le second, un certain « T », est mort il y a une semaine.

La famille de Kévin David a lancé un appel aux dons pour le rapatriement de son corps et une sépulture.

Depuis l’invasion russe de l’Ukraine, huit Français y ont été tués.

Enquête : comment Moscou et Téhéran ont noué une alliance de circonstances depuis le début de la guerre

Moscou, sous le coup de sanctions internationales depuis son agression de l’Ukraine, et Téhéran, sanctionné pour avoir relancé son programme nucléaire, ont noué une alliance de circonstance, qui s’intensifie dans l’urgence et sous une intense pression extérieure.

Une enquête de nos journalistes Benoît Viktine et Madjid Zerrouky, à retrouver ici :

Lire aussi : La guerre en Ukraine pousse Russie et Iran dans un front commun des « parias »

L’armée américaine estime peu probable une victoire ukrainienne en 2023

Selon le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, l’Ukraine a peu de chances d’expulser toutes les forces russes de son territoire au cours de l’année 2023. « Je ne pense pas que cela puisse se faire à court terme lors de cette année », a-t-il dit lors d’une interview accordée à Defense One.

Le président ukrainien, Volodymyr « Zelensky, a déclaré publiquement à plusieurs reprises que l’objectif ukrainien était de chasser tous les Russes de l’Ukraine occupée par la Russie. Et il s’agit d’une tâche militaire importante. Une tâche militaire très, très difficile. Quelques centaines de milliers de Russes se trouvent encore dans l’Ukraine occupée par la Russie. Je ne dis pas que c’est impossible. Je dis simplement que c’est une tâche très difficile, a-t-il expliqué. Mais c’est leur objectif. Ils en ont certainement le droit, c’est leur pays. Et c’est à eux que revient la responsabilité morale. »

Ce dernier a écarté pour l’heure la possibilité d’envoyer aux forces ukrainiennes des missiles de longue portée ATACMS américains : « Jusqu’à présent, la décision politique a été prise de ne pas le faire. Et je ne m’avancerais jamais sur l’avenir, mais d’un point de vue militaire, nous avons relativement peu d’ATACMS et nous devons nous assurer que nous maintenons nos propres stocks de munitions. »

Les infos à retenir samedi 1er avril au matin

  • La ville martyre ukrainienne de Boutcha, symbole des atrocités attribuées à l’armée russe, doit devenir « un symbole de justice », a dit, vendredi, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à l’occasion du premier anniversaire de la reprise de cette localité par les forces de Kiev. « Nous ne pardonnerons jamais », a-t-il juré, promettant qu’« il y aura un nouveau Nuremberg ».
  • Selon le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, l’Ukraine a peu de chances d’expulser toutes les forces russes de son territoire au cours de l’année 2023, une tâche qu’il a qualifiée de « très difficile ». Il a également écarté pour l’heure la possibilité d’envoyer aux forces ukrainiennes des missiles à longue portée ATACMS américains.
  • Le président français, Emmanuel Macron, a accusé, vendredi, la Russie d’avoir « laissé faire, voire encouragé » les crimes de guerre « avec pour objectif clair de soumettre la nation ukrainienne par la violence ».
  • Le président russe, Vladimir Poutine, a signé vendredi un décret validant une nouvelle doctrine de politique étrangère, désignant l’Occident comme une « menace existentielle » dont Moscou doit combattre la « domination ». Dans un document de plus de quarante pages, la Russie se pose en rempart du monde russophone face aux Occidentaux, accusés de vouloir l’« affaiblir par tous les moyens ».
  • La majorité des membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont exprimé leur préoccupation quant à un risque de prolifération nucléaire, lors d’une réunion sur le déploiement annoncé par Moscou d’armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie. Cette réunion a eu lieu vendredi, à la demande de l’Ukraine.
  • Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a validé, vendredi, le plan d’aide d’un montant de 15,6 milliards de dollars (14,3 milliards d’euros) signé le 21 mars avec le gouvernement ukrainien.

Bonjour et bienvenue à toutes et tous

Cette nouvelle journée de guerre en Ukraine va être couverte dans ce direct.

Vous pouvez retrouver notre live d’hier en cliquant sur ce lien.

Le contexte

  • La ville martyre ukrainienne de Boutcha, symbole des atrocités attribuées à l’armée russe, doit devenir « un symbole de justice », a dit, vendredi, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à l’occasion du premier anniversaire de la reprise de cette localité par les forces de Kiev. « Nous ne pardonnerons jamais », a-t-il juré, promettant qu’« il y aura un nouveau Nuremberg ».
  • Selon le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, l’Ukraine a peu de chances d’expulser toutes les forces russes de son territoire au cours de l’année 2023, une tâche qu’il a qualifiée de « très difficile ». Il a également écarté pour l’heure la possibilité d’envoyer aux forces ukrainiennes des missiles de longue portée ATACMS américains.
  • Le président français, Emmanuel Macron, a accusé, vendredi, la Russie d’avoir « laissé faire, voire encouragé » les crimes de guerre « avec pour objectif clair de soumettre la nation ukrainienne par la violence ».
  • Le président russe, Vladimir Poutine, a signé vendredi un décret validant une nouvelle doctrine de politique étrangère, désignant l’Occident comme une « menace existentielle » dont Moscou doit combattre la « domination ». Dans un document de plus de quarante pages, la Russie se pose en rempart du monde russophone face aux Occidentaux, accusés de vouloir l’« affaiblir par tous les moyens ».
  • La majorité des membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont exprimé leur préoccupation quant à un risque de prolifération nucléaire, lors d’une réunion sur le déploiement annoncé par Moscou d’armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie. Cette réunion a eu lieu vendredi, à la demande de l’Ukraine.
  • Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a validé, vendredi, le plan d’aide d’un montant de 15,6 milliards de dollars (14,3 milliards d’euros) signé le 21 mars avec le gouvernement ukrainien.

Retrouvez notre direct d’hier en cliquant sur ce lien.

Lire tous nos articles, analyses et reportages sur la guerre en Ukraine

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