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21 mai 2016, au Stade de France, le dernier match de Laurent Blanc à la tête du PSG, une victoire face à l'OM en finale de Coupe de France.
21 mai 2016, au Stade de France, le dernier match de Laurent Blanc à la tête du PSG, une victoire face à l'OM en finale de Coupe de France.
21 mai 2016, au Stade de France, le dernier match de Laurent Blanc à la tête du PSG, une victoire face à l'OM en finale de Coupe de France. JB Autissier

DÉCRYPTAGE – De retour au Parc des Princes avec l'OL ce dimanche (20h45), le technicien cévenol symbolise l'époque où Paris avait encore un projet.

Laurent Blanc, le retour. Près de sept ans après son éviction, en 2016, le champion du monde retrouve ce dimanche (20h45), à la tête de l'OL, un Parc des Princes où il a officié pendant trois ans (2013-16). Une époque lointaine durant laquelle le PSG faisait encore vibrer, il y avait de la passion, l'émotion, une «flamme» comme l'analyse l'ex-Parisien Greg Paisley. «Il est arrivé à une période où tout le monde était en attente, excité par tout ce que le PSG pouvait éventuellement gagner. C'était différent. Et il y avait des joueurs auxquels on pouvait s'identifier aussi, des titis, plus de Français, et les stars étaient... de vraies stars bien implantées, Zlatan Ibrahimovic, les deux Thiago, Angel Di Maria, Maxwell, Edinson Cavani... Des monstres ! Quand on se souvient que des joueurs comme Adrien Rabiot, Javier Pastore ou Lucas sortaient du banc, on se dit que c'est un vrai groupe capable de gagner. Pour moi, l'effectif actuel est l'un des plus faibles de l'ère QSI. Le projet sportif…

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