Dans un communiqué officiel, Al Massar a rejeté la politique adoptée par le président de la République Kais Saïed expliquant qu’elle avait comme résultats la violation des acquis démocratiques et l’exclusion des partis politiques.
Le parti est revenu sur la nouvelle loi électorale dénonçant l’interdiction des candidats avec une double nationalité de se présenter aux législatives et empêcher les participants de profiter d’un financement public.
Selon Al Massar, la nouvelle répartition des circonscriptions électorale favorise la logique de l’appartenance régionale et tribale.
Il a, de ce fait, annoncé qu’il boycottera le prochain rendez-vous électoral du 17 décembre 2022 considérant que la nouvelle loi électorale est anticonstitutionnelle.
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