Bondoukou, 27 nov 2022 (AIP) – Le directeur technique de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), Colonel Angora Djè François, a salué le taux de réalisation estimé au titre de l’année 2022, à 56 %, des activités par l’équipe de gestion du Parc national de la Comoé (PNC), lors d’un atelier bilan de l’exercice 2022 et de planification pour 2023 organisé à Bondoukou.
“Au regard de la taille du PNC, il faut féliciter l’équipe locale”, a approuvé le directeur technique de l’OIPR, pour qui les procédures ont tiré vers le bas le taux d’exécution. Pour le Colonel Angora Djè François, le plus important demeure la mise en place d’ équipes dynamiques alertes et d’une plateforme des chefs traditionnels riverains au PNC.
“La direction Nord-Est de l’OIPR a permis la construction de centres de santé et de nombreux projets. Son bilan est positif”, a apprécié le chef de la province Yalo, Bedi Mampé 2, les 23 et 24 novembre 2022.
Aux dires du sous-préfet de Nassian, Bity Bawa Tanguy, les efforts réalisés ont pris en compte des recommandations des partenaires, et ont vu l’implication des universitaires et des populations riveraines dans la réalisation des activités.
Le Comité de gestion local (CGL) du Parc national de la Comoé, lors de la 35e session et 9e session du Conseil de coordination de la protection de la biodiversité du PNC, avait accordé également le 7 juillet 2022, son satisfécit aux gestionnaires de cette aire pour le travail accompli.
”Le bilan est positif dans la mesure où les projets que nous avions en souffrance ont commencé à être exécutés avec l’arrivée de l’assistant technique”, avait salué le président du CGL du PCN, le préfet de Bouna, Kpan Droh Joseph, lors du bilan de la deuxième session de l’année 2022. Le taux de performance est estimé à 56% au 30 juin 2022.
D’après le directeur général de l’OIPR, Tondossama Adama, la majeure partie des activités programmées ont été réalisées, selon le chronogramme défini. Et l’état de conservation du PNC avait été jugé satisfaisant avec l’inventaire aérien qui a été réalisé en avril 2022. « Il y a un certain nombre d’espèces qui sont en croissance », a-t-il apprécié.
(AIP)
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