Burkina Faso
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Des rumeurs sur les réseaux sociaux suscitent une réaction du groupe EBOMAF

Ceci est une tribune du Groupe EBOMAF sur l’actualité nationale signée de Eric Delwendé Ilboudo. 

Dans un écrit intitulé  « un climat de fin de règne à Ouagadougou », relayé par les réseaux sociaux et repris par certains médias en ligne, l’auteur, un illustre inconnu, dont il n’est pas nécessaire de citer le nom, au risque de lui donner de l’importance, tente dangereusement et sans preuve aucune, de ternir l’image du PDG du Groupe EBOMAF qu’il associe à des projets de déstabilisation dont il a visiblement le secret.

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L’auteur de ce torchon voudrait ternir l’image de Mahamadou Bonkoungou, qu’il ne s’y serait pas pris autrement, tant on y sent de la haine et de l’acharnement contre un homme dont la générosité envers ses compatriotes, n’est plus à démontrer puisqu’elle est connue de tous. Et Dieu seul sait les efforts consentis par le PDG de EBOMAF pour soutenir l’effort de guerre surtout en ces moments difficiles où notre patrie est menacée dans son existence.

Est-ce son engagement aux côtés des autorités de la transition en vue de la libération de notre pays, qui lui vaut une telle animosité au point que l’on tente de lui coller une étiquette qui est loin d’être la sienne ? En tout cas, une chose est certaine. L’intention de l’auteur de l’article incriminé est claire. Il cherche, en effet, à semer la confusion dans les esprits des Burkinabè aux fins de les dresser contre EBOMAF.

Peine perdue puisque très heureusement, le manège a été très vite découvert par les Burkinabè qui ne sont plus prêts à se laisser conter fleurette. Ils n’ont qu’un seul souhait : voir leur pays libéré de ces bandes armées qui endeuillent injustement des familles depuis quelques années. La lutte pour le pouvoir, par ces temps qui courent où le pays a besoin de l’union de ses filles et fils, n’a pas sa raison d’être.

Et pour le PDG de EBOMAF, seul compte le retour de la paix au Burkina Faso, jadis présenté comme un havre paradisiaque où vivaient en osmose plusieurs communautés entretenant entre elles des liens multiséculaires.

C’est pour cette raison d’ailleurs, et bien des Burkinabè le savent, Mahamadou Bonkoungou n’a eu de cesse de cracher au bassinet en vue d’un meilleur équipement des Forces de défense et de sécurité (FDS) et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) dans le combat qu’ils mènent pour la reconquête de l’intégrité du territoire national sous contrôle des groupes armés terroristes.

En tout cas, le Burkina Faso doit une fière chandelle au PDG du Groupe EBOMAF dont les investissements aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ont contribué énormément à lutter contre le chômage à travers la création de milliers d’emplois. En quoi donc une telle personnalité au cœur d’or va -t-elle chercher à déstabiliser son pays qu’il soutient à bout de bras.

A quelle fin d’ailleurs ? On se rappelle d’ailleurs qu’à l’occasion de l’inauguration de Liz Aviation, l’équipe de la présidence de la transition, était aux côtés du patron du Groupe EBOMAF ; preuve, s’il en est, que les deux hommes filent le parfait amour contrairement à ce que tentent de faire croire les cavaliers de l’apocalypse et leurs maîtres à penser. 

Eric Delwendé Ilboudo

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