poste par Désiré-Clitandre Dzonteu / 14 avril, 2022
Guy Patrick Obiang Ndong, accompagné du ministre délégué, Justine Libimbi-Mihindou, s’est rendu le 13 avril au siège du Centre Arc-en-ciel pour s’imprégner des difficultés de cette structure venant en aide aux enfants en difficultés.
Le ministre de la Santé, Guy Patrick Obiang Ndong, suivant les présentations lors de la visite du centre. © D.R.
Le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Guy Patrick Obiang Ndong et le ministre délégué, Justine Libimbi-Mihindou, ont effectué, le 13 avril, une visite du siège de l’association Arc-en-ciel. Une structure qui œuvre depuis plus de 25 ans pour la protection des enfants en difficulté au Gabon. Il s’agissait de s’imprégner des réalités de cette structure associative dirigée par la Congrégation des sœurs Carmélites de la charité Verduna afin de cerner les conditions dans lesquelles elle évolue. Guy Patrick Obiang Ndong et sa suite ont tour à tour visité le service social, le service juridique, le service éducatif, l’infirmerie, le bureau des psychologues, l’atelier de broderie et de couture ainsi que les dortoirs des internes.
Arc-en-ciel œuvre pour la protection des enfants au Gabon par des actions concrètes, sensibilise des milliers de personnes et forme les acteurs de la protection des enfants pour améliorer le statut et les perspectives d’avenir des mineurs à risque ou victimes de violence. Pour les responsables du centre Arc-en-ciel, «c’est en œuvrant ensemble, en impliquant toute la société gabonaise que nous pourrons agir efficacement pour l’intérêt supérieur, l’épanouissement et le bien-être des enfants».
Satisfait de l’état de ce centre d’accueil et des conditions mises en œuvre par la direction pour l’épanouissement des enfants, le ministre a manifesté sa volonté d’accompagner cette association. Il envisage une procédure de sa reconnaissance d’utilité publique et l’octroi d’une subvention à cette structure.
Le centre Arc-en-ciel accueille les enfants les plus vulnérables, ceux vivant dans la rue ainsi que ceux victimes de violences, âgés entre 7 et 18 ans.
