Par Lucie Jannet
Les soignants de la Croix-Rouge n’ont pas chômé pendant et après le combat. Le poste médical avancé était en effervescence.
La salle Saint-Georges, sur la Grand’Place, est devenue une vraie fourmilière. Après le combat, il y a les blessés allongés sur les civières, les personnes qui cherchent des nouvelles de leurs proches et les soignants qui vont et qui viennent, à chaque fois avec un mot rassurant.
▶► Choquée, une dame était en pleurs : nos explications
▶► Un jeune homme allongé, recouvert par une couverture de survie, a aussi été pris par les secours (les détails)
▶► « Pendant le combat et jusqu’à maintenant, nous avons accueilli 130 personnes »: Denis Rans, coordinateur des services médicaux, témoigne
Une soixantaine de soignants Croix-Rouge sont mobilisés pendant le combat.