Lionel fustige l’absence de suivi psychologique et médical des agents après la traque des terroristes.
Publié le 12-08-2022 à 06h45
Cinq ans après avoir quitté les unités spéciales de la police fédérale, Lionel pousse un coup de gueule concernant l'absence de suivi post-traumatique des agents qui sont soumis à une pression terrible durant leurs opérations. "Se faire tirer dessus n'est jamais un ressenti naturel et cela trotte...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Abonnement sans engagement